By continuing to use our site, you consent to the processing of cookies, user data (location information, type and version of the OS, the type and version of the browser, the type of device and the resolution of its screen, the source of where the user came from, from which site or for what advertisement, language OS and Browser, which pages are opened and to which buttons the user presses, ip-address) for the purpose of site functioning, retargeting and statistical surveys and reviews. If you do not want your data to be processed, please leave the site.

La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : breast cancer

La mastectomie avec conservation de la plaque aréolo-mamelonnaire

La mastectomie avec conservation de la plaque aréolo-mamelonnaire (PAM) est une opération que l’on pratique sur les personnes à qui l’on doit retirer un ou deux seins en guise de traitement curatif ou préventif du cancer du sein. Lors de cette procédure, le chirurgien réalise une petite incision dans le sein afin de pouvoir retirer le tissu glandulaire mammaire qui se trouve sous la peau et le mamelon, et les laisser intacts. La reconstruction mammaire — à l’aide d’un implant ou de tissu naturel — peut se faire lors de la même opération. Cette procédure a pour objectif de concilier la préservation du sein et l’éradication de la tumeur dans le sein.

Des experts répondent à vos questions : un cancérologue répond à vos questions sur le cancer du sein RH positif

Aujourd’hui, nous vous présentons les questions qui ont été abordées lors d’une session qui a eu lieu en avril 2021, au cours de laquelle le cancérologue Sandeep Sehdev, M.D., FRCPC, a répondu à des questions portant sur le cancer du sein RH positif. Vous trouverez entre parenthèses la référence temporelle de chaque question dans la vidéo.

Le choix de notre système de soutien nous appartient

J’ai perdu ma chatte, Trixie-Belle. Elle est morte l’année dernière, une semaine avant les vacances d’hiver, d’un carcinome épidermoïde, un type très agressif du cancer de la bouche. Mon vétérinaire n’a rien pu faire pour la sauver. Un matin, elle s’est réveillée avec une tache sur le palais, puis après avoir réalisé toutes les analyses possibles et inimaginables et pris un traitement médicamenteux, elle s’en est allée.

Trousse numérique de défense des droits et de communication narrative du RCCS : la communication narrative comme outil de défense des droits et intérêts des patients

Même si diverses avancées ont été réalisées en matière de diagnostic, de traitement et de prise en charge du cancer du sein, les personnes qui se voient diagnostiquer un cancer du sein ou qui vivent avec la maladie se heurtent à des problèmes qui n’ont pas encore été pris en compte pas les organismes et les agences gouvernementales responsables. Par ailleurs, le grand public n’est, en général, pas conscient des conséquences quotidiennes du cancer du sein sur la vie des personnes qui en sont atteintes et leur famille.

Des experts répondent à vos questions : une cancérologue répond à vos questions sur le cancer du sein HER2 positif

Aujourd’hui, nous vous présentons les questions qui ont été abordées lors de la session du 21 avril 2021, au cours de laquelle la cancérologue Karen Gelmon, M.D., FRCPC, a répondu à des questions portant sur le cancer du sein HER2 positif. Vous trouverez entre parenthèses la référence temporelle de chaque question dans la vidéo.

FAQ sur le conseil génétique

Les conseillers en génétique sont des professionnels de la santé qui ont reçu une formation spécifique et qui ont de l’expérience dans les domaines de la génétique médicale et du conseil thérapeutique. Ils sont amenés à travailler avec des personnes et des familles qui présentent des antécédents ou des risques médicaux de maladies héréditaires. Leur rôle est d’identifier les personnes et les familles à risque, de leur fournir des informations et du soutien, de les renseigner sur les différents tests de dépistage et de prendre en charge l’organisation de ces tests, et de leur parler des ressources communautaires dont elles peuvent bénéficier.

Comment se motiver et pratiquer une activité physique?

C’est bien connu, l’activité physique permet de lutter contre la fatigue liée au cancer et aux traitements. Elle permet de soulager l’affaiblissement et les douleurs causés par les traitements et leurs effets secondaires, et aide à remédier au déconditionnement physique. Lorsque l’on a mal, que l’on est fatiguée et que l’on ne se sent pas bien, il peut être difficile de se motiver à faire de l’exercice. Pourtant, plusieurs études ont montré qu’effectuer une combinaison d’exercices de renforcement musculaire, d’aérobie et d’assouplissement permettait de diminuer ces symptômes handicapants dans la vie de tous les jours.

À quoi servent toutes ces analyses que l’on vous prescrit?

Afin d’établir un diagnostic, votre équipe soignante vous demandera d’effectuer différentes analyses de sang. Le plus souvent, ces analyses devront être régulièrement effectuées : à l’étape du diagnostic, pendant le traitement, pendant la période de suivi et au-delà. Chaque diagnostic et chaque traitement ont des spécificités qui nécessitent d’être surveillées. S’agissant des résultats des analyses, la plage normale de valeurs reflète uniquement les valeurs moyennes pour ces analyses au sein de la population. Il est possible d’obtenir des résultats qui se situent légèrement en dehors d’une plage normale de valeurs sans que cela n’ait de conséquence; dans ce cas, votre équipe soignante saura vous renseigner sur la pertinence de vos résultats.

Rester calme et forte : trois façons de se motiver, de rester inspirée et de s’outiller pour optimiser sa santé

Ça vous dit quelque chose?

Au début : Se lever, trouver une grosseur, se sentir désemparée, paniquer intérieurement, aller voir son médecin, aller voir un spécialiste, faire une mammographie, aller voir un oncologue, faire une échographie, faire une IRM, faire une biopsie, refaire le tout plusieurs fois, apprendre qu’on a un cancer du sein, être en état de choc, rentrer chez soi, faire un plan, se mettre au lit et ne pas réussir à dormir.

Trois choses à prendre en compte si vous envisagez d’arrêter le tamoxifène

Si vous avez un cancer du sein, vous avez sûrement déjà entendu parler du tamoxifène. Je me rappelle la première fois où mon oncologue m’a parlé de ce médicament qui relève de l’hormonothérapie. C’était pendant l’un de mes contrôles hebdomadaires, lors de mes séances quotidiennes de radiothérapie. Il m’a expliqué qu’à cause du fait que les cellules cancéreuses trouvées dans mon sein droit présentaient 95 % de récepteurs pour l’œstrogène et la progestérone, les hormones produites naturellement dans mon corps pouvaient se fixer aux cellules cancéreuses et les aider à se développer. Bien entendu, j’ai accepté de prendre ce médicament sans aucune hésitation.

Quelle est l’influence de la race et de l’ethnicité sur le cancer du sein?

Avec plus de 2,2 millions de cas en 2020, le cancer du sein est la forme la plus commune du cancer selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). On estime qu’une femme sur douze sera atteinte d’un cancer du sein et que celui-ci sera la cause principale de décès par cancer chez les femmes. Toutefois, grâce à l’augmentation du taux de détection précoce, aux programmes de dépistage et à l’amélioration des traitements, le taux de survie au cancer du sein n’a cessé de s’améliorer depuis les années 1980.

Défendre ses intérêts : par et pour les patients

L’année dernière, nous avions écrit un billet sur l’importance pour les patients de se battre pour défendre leurs propres intérêts. Nous vous avions donné quelques trucs et astuces pour vous aider à y parvenir et être des acteurs à part entière de vos traitements. Même si ces informations sont utiles et peuvent s’appliquer à des situations dans lesquelles vous vous êtes peut-être retrouvés, nous pensons fermement qu’il vaut mieux les entendre de la bouche même de personnes qui les ont vécues.

Défendre les droits des patients avec intégrité

Le financement par l’industrie des organisations sans but lucratif de défense des droits des individus est de plus en plus remis en question. Nombreux sont ceux qui croient que tout groupe qui reçoit des fonds des compagnies pharmaceutiques est forcément biaisé. Cette conviction fait toutefois fi de toutes les précautions prises par les organismes de bienfaisance dans le domaine de la santé pour faire preuve d’éthique et pour préserver leur objectivité et leur crédibilité. Il va sans dire que cette critique ne correspond pas à l’approche centrée sur le patient préconisée par le Réseau canadien du cancer du sein (RCCS).

Exode de cerveau : l’impact du cancer du sein sur ma façon de penser

J’ai commencé à compter le nombre de fois où je m’inflige une correction affective chaque jour. J’entends par là toutes les critiques méchantes, cruelles et blessantes que je me dis en silence, dans l’intimité de mon esprit. Hier, j’ai atteint le chiffre vingt-deux, le record de la semaine. Jusqu’à maintenant, aujourd’hui, je suis rendue à sept pensées cinglantes. Il est neuf heures du matin et mon réveil a sonné à six heures trente.

Vivre de manière positive avec un cancer du sein et bouger en toute sécurité

Le cancer du sein constitue une épreuve difficile. Vous cherchez des réponses et des informations sur cette maladie et ses traitements. Vous tentez de demeurer optimiste tout en acceptant ce que l’avenir peut vous réserver.

Traitement préventif du cancer du sein héréditaire

If you are at high risk for developing breast cancer because of family history or because you have the BRCA1 or BRCA2 gene mutation, you have several preventative treatments to consider. These options include close surveillance, chemoprevention, and prophylactic mastectomy, with or without breast reconstruction. 

Une biopsie liquide redonne espoir à une famille ontarienne

Carla Van Wyck-MacDonald habite près de Shallow Lake, en Ontario, avec son mari et ses quatre enfants âgés de 9, 11, 13 et 14 ans. Elle a reçu un diagnostic initial de cancer du sein deux ans après le décès de sa mère des suites de la même maladie.

Faire confiance à son instinct et connaître son corps

Je suis issue d’une longue lignée de survivantes du cancer du sein. Je n’ai donc pas du tout été surprise de recevoir un diagnostic de cancer du sein en 2008. Je n’avais que 50 ans et j’avais célébré ce jalon important avec ma sœur jumelle en février 2007. Quelques mois plus tard, en décembre de la même année, je savais que quelque chose clochait. Une mammographie passée au centre Sunnybrook, en octobre je crois, n’avait rien révélé. Ni elle ni le minutieux examen des seins subis au même hôpital n’avaient permis de déceler une tumeur extrêmement petite près de mon aisselle gauche, enfouie profondément près d’un ligament. Elle était indétectable à ce moment. Plus tard cet automne-là, j’ai remarqué un pli dans mon sein alors que je séchais le bas de mon corps après une douche au gymnase. J’ai tout de suite su de quoi il en retournait et j’ai pris rendez-vous avec mon médecin à la clinique spécialisée dans le dépistage des personnes à risque élevé de souffrir d’un cancer du sein du centre Odette.

L’importance de prendre soin de soi pour quiconque affronte un cancer du sein

Prendre soin de moi. Cette idée ne m’a jamais traversé l’esprit lorsque j’ai reçu mon diagnostic de cancer du sein et encore moins après mon opération et durant mon traitement. J’aurais dû y penser. Et, non, ce n’est pas égoïste.

Des oncologues vous informent au sujet des vaccins contre la COVID-19

Lorsque la pandémie de COVID-19 a été déclarée en mars 2019, il manquait d’informations sur le virus. Puis, au fil du temps, de plus en plus de recherches se sont penchées sur le virus et elles ont permis de mieux comprendre son fonctionnement, ses symptômes, qui il contamine et bien plus. Ces recherches ont également contribué à déterminer que les patients atteints de cancer étaient plus susceptibles de développer des symptômes graves s’ils attrapent la COVID-19. Même s’il manquait à la fois de preuves pour indiquer quels cancers précis étaient liés à une plus grande vulnérabilité et de recherches pour établir sans équivoque si les patients actuels et passés faisaient face aux mêmes risques, les quelques conclusions tirées à ce moment s’avéraient suffisantes pour classer les gens ayant reçu un diagnostic de cancer du sein comme étant à haut risque. Bien sûr, le risque de chacun dépend de nombreux facteurs et varie selon les individus.