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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : breast cancer

Vous ne pouvez pas faire disparaître le cancer, mais vous pouvez améliorer la situation

Le 3 novembre 2011, j’ai reçu un appel téléphonique pendant que j’allais chercher mes fils, âgés de 2 et 4 ans, à l’école. Au bout du fil, il y avait le médecin de ma femme qui m’informait que Kate était atteinte d’une forme rare et agressive de cancer du sein. La confusion, la peur et la colère ont caractérisé les mois qui ont suivi. J’ai éprouvé de la difficulté à exprimer ce qui arrivait à ma famille d’une part et à prendre soin d’eux d’autre part.

Mieux comprendre les obstacles au retour au travail après un cancer du sein

Pour certaines, reprendre le travail constitue une étape importante du cheminement après le traitement. Vous y êtes arrivée ; vous avez surmonté cette épreuve et le pire est derrière vous ! Cependant, réintégrer le marché du travail apporte son lot de défis.

Ce que des femmes de partout dans le monde vivant avec un cancer du sein métastatique m’ont appris

En juin dernier, j’ai eu l’occasion d’assister à l’Europa Donna Metastatic Breast Cancer Advocacy Conference en Italie. La présidente de notre conseil d’administration, Cathy, y avait été invitée à parler. C’est avec plaisir que je me suis jointe à elle pour faire connaître le travail de défense des droits accompli par le RCCS au Canada. Même si la plupart des participants représentaient diverses organisations, il était intéressant de constater que beaucoup d’entre eux étaient également des femmes qui vivent avec un cancer du sein métastatique.

Le cancer est sa quatrième maladie grave

Lorsqu’elle apprend qu’elle souffre d’un cancer du sein en mars 2016, Kim Bulpitt n’en est pas à sa première maladie grave. À 53 ans, cette résidente de Kitchener en Ontario avait auparavant reçu un diagnostic de maladie rénale en 1979, un de la maladie de Parkinson en 2008 et un d’arthrose en 2012, affection pour laquelle elle a dû subir une arthroplastie des deux genoux en 2014.

Discussions sur les lacunes de la couverture des médicaments contre le cancer lors d’une importante conférence canadienne

J’ai eu le privilège de participer à la conférence Approches optimales à l’égard des soins en oncologie au Canada du Partenariat canadien contre le cancer (PCCC). C'était la première fois que le PCCC accueillait cette conférence qui explorait quatre thèmes principaux de la lutte contre le cancer : les initiatives axées sur la qualité des soins, les aspects économiques des soins de grande qualité, l’amélioration de la qualité des diagnostics de cancer et la façon de surmonter l’inertie dans le système de lutte contre le cancer (pourquoi ne faisons-nous pas ce qui fonctionne ?).

Une mère enceinte aux prises avec un cancer du sein agressif

Tanya Figg de Coaldale en Alberta était enceinte de six mois de son deuxième enfant lorsqu’elle reçut en août 2015 un diagnostic de cancer du sein invasif de stade III. Ce que représentait cette nouvelle pour elle-même et sa famille fut sa première pensée.

Olive Us Care offre des services de garde d’enfants sans frais pour les familles confrontées à un cancer

Si vous ou votre enfant avez reçu un diagnostic de cancer et que vous avez besoin d’un service de garde dans la grande région de Hamilton en Ontario, Olive Us Care peut vous aider. 

Ce nouvel organisme de bienfaisance sans but lucratif offre gratuitement des services de garde à domicile pour les enfants de moins de 12 ans jusqu’à concurrence de 10 heures par mois. 

La fatigue liée au cancer : liste de questions et réponse

La fatigue étant un symptôme prédominant du cancer, le RCCS a fait appel à Georden Jones pour obtenir des conseils sur les moyens de l’atténuer. Georden est une étudiante au doctorat en psychologie clinique à l’Université d’Ottawa dont la thèse porte sur la fatigue liée au cancer. Elle s’attarde plus particulièrement à l’expérience des patients aux prises avec ce symptôme et à la façon de mettre en place des programmes d’évaluation et d’intervention dédiés à la fatigue reliée au cancer.

Ma vie aprés le cancer du sein

En 2013, j’ai rédigé « Ma vie après le cancer du sein » paru dans l’édition du printemps 2014 de Nouvelles du réseau du Réseau canadien du cancer du sein. Ça faisait quatre ans que j’avais reçu mon diagnostic de cancer du sein triple négatif localement avancé et trois ans que j’avais terminé les traitements. Je n’étais plus cancéreuse et je me sentais bien ; je chérissais ces années supplémentaires.

Mon témoignage sur le cancer inflammatoire du sein

Quand l’infirmière m’a téléphoné à 8 h 30 le 15 décembre 2015 pour me demander si je pouvais me rendre à l’hôpital dans la journée, je savais que c’était grave. De recevoir ce matin-là la confirmation que j’avais un cancer du sein m’a dévastée.

Mon récit

Lorsque j'ai soudainement reçu un diagnostic de cancer du sein plus tôt cette année, je suis vraiment tombée en état de choc durant les premières semaines. Je crois qu'il est faux de dire que le diagnostic est le début d'une traversée. Ce n'est pas une traversée. C'est un chemin de croix quant à moi.

Vivre consciemment et joyeusement avec le cancer

En 2003, j’étais une mère au foyer active et heureuse en ménage qui vivait à Calgary (en Alberta), la ville qui m’a vue naître et grandir. J’avais 46 ans et j’occupais mes journées en allant m’entraîner au gym, en étant bénévole à l’école et à l’église et en m’occupant de ma famille active. Mon fils avait 13 ans et mes filles étaient âgées de 11 et 8 ans à ce moment. Je me sentais en santé et pas trop stressée.

Droit devants vers la nouvelle personne que je suis

« Ça fait du bien de te voir dans ton état normal », m’a récemment dit un ami. J’ai hoché la tête et affiché mon plus beau faux sourire. Ça fait maintenant trois ans que j’ai reçu mon diagnostic de cancer du sein, deux ans que mes traitements sont terminés et dix-huit mois que j’ai subi une mastectomie bilatérale. J’ai perdu mes cheveux, j’ai reçu des radiations, j’ai été émincée, coupée en cubes et rapiécée. Je suis forte. Je suis heureuse, mais je suis loin d’être revenue à mon état « normal ».

Comment j’ai appris à composer avec les réactions des étrangers

J'ai découvert une bosse dans mon sein gauche par accident à l'été 2006, peu après avoir eu 40 ans. Après une mammographie et une biopsie, j'ai eu droit à un diagnostic de cancer du sein. C'était un CCIS multicentrique et très agressif. En bref, il en a résulté un tourbillon de plans de traitement et de chirurgie impliquant une chimio, une mastectomie bilatérale, de la radiothérapie, une hystérectomie et enfin une chirurgie reconstructive.

Croire

Patricia Stoop, 43 ans, est épouse, mère et ergothérapeute en soins à domicile; elle vit dans une petite ville de la Colombie-Britannique. En 2011, elle a remarqué quelques bosses à son sein et a reçu un diagnostic de cancer du sein agressif, avancé localement, du type HER-2.