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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Contributor : CBCN Team

Ressentez-vous de la douleur et des sensations là où se trouvait jadis votre sein ? Il pourrait s’agir du syndrome du sein fantôme

Certaines patientes atteintes d’un cancer du sein qui ont subi une mastectomie ont rapporté éprouver des sensations, douloureuses ou non, à l’endroit où se situait leur sein avant son ablation. Ce problème de santé, connu sous le nom de syndrome du sein fantôme, apparaît généralement durant l’année suivant la mastectomie. Les sensations qu’il provoque surviennent habituellement sur la poitrine, l’aisselle, la cicatrice de l’intervention chirurgicale et la partie intérieure du bras et elles se manifestent bien plus longtemps que la douleur post-opératoire. La prévalence du syndrome du sein fantôme demeure imprécise en raison d’un manque d’informations. En effet, les patientes ne le déclarent pas toujours parce qu’elles ont l’impression que ce n’est pas très important ou parce qu’elles ont du mal à le décrire. Le syndrome du sein fantôme toucherait entre 4 % et 56 % des patientes. D’autres études soutiennent que la fourchette se situe plutôt entre 10 % et 55 % des femmes.

Trois sœurs combatives face au cancer

Je suis une Loirétaine de 51 ans et j’habite près d’Orléans, à 120 kilomètres au sud de Paris. J’ai grandi entourée de femmes. Je suis la plus jeune d’une famille comptant cinq filles. J’ai 20 ans de moins que ma sœur aînée et 10 ans me séparent de ma quatrième sœur. Notre mère a reçu son diagnostic de cancer du sein en 1985 et à cette époque, les soins étaient terribles. En juillet 1986, mon père est décédé d’un arrêt cardiaque sûrement attribuable à son chagrin. Ma mère a été très courageuse et elle s’est battue de toutes ses forces. Elle est décédée en mai 1989. J’avais alors 20 ans. En raison de son diagnostic de cancer du sein, mes sœurs et moi faisons l’objet d’un suivi étroit.

Les caillots sanguins et le cancer : de quoi s’agit-il et êtes-vous à risque ?

Lorsque vous vous coupez ou blessez, les caillots sanguins servent à arrêter le saignement pour aider votre corps à guérir. Ils comportent cependant un aspect négatif. La formation d’un caillot sanguin dans une veine (thrombo-embolie veineuse) ou dans une veine profonde (thrombose veineuse profonde [TVP]), peut susciter de l’inquiétude.

Conseils de santé sexuelle et d’intimité pour les patientes atteintes d’un cancer du sein

Les relations sexuelles ne constituent pas fréquemment un sujet de discussion auprès des médecins et des oncologues, ni même des amis. Néanmoins, les changements et les adaptations imposés par un cancer du sein peuvent s’avérer considérables pour vous et votre partenaire, selon l’importance que revêtait la sexualité dans votre vie avant votre diagnostic et vos traitements.

Traitement du lymphœdème : des exercices courts et simples pour vous

Le lymphœdème consiste en l’enflure anormale des bras, des mains, des seins ou du torse. Le lymphœdème associé au cancer du sein survient habituellement lorsque des ganglions ou des vaisseaux lymphatiques ont été endommagés ou retirés à la suite d’un traitement contre le cancer du sein. Le blocage du système lymphatique ainsi créé empêche l’évacuation adéquate de la lymphe, ce qui cause un gonflement.

Pourquoi il est important de défendre vos propres droits

Le concept de « défense des droits et des intérêts » est résumé en un mot en anglais, advocacy, qui a la même racine étymologique que le terme français avocat. Nous y retrouvons donc l’idée de plaider une cause, c’est-à-dire de la défendre. Même si ces mots revêtent d’emblée une connotation juridique, ils peuvent être utilisés dans un contexte beaucoup plus large. En tant que personne ayant reçu un diagnostic de cancer du sein, défendre vos intérêts et vos droits signifie simplement faire partie de votre équipe de soins. Cela veut dire vous connaître et parler en votre nom pour veiller à ce que vos besoins en matière de soins oncologiques soient satisfaits. La défense des intérêts constitue un élément de la « médecine participative » où les « patients travaillent activement aux côtés de leurs médecins pour choisir le meilleur traitement contre le cancer ».

Mathématiques du cancer du sein

Je pensais rarement au cancer du sein avant de recevoir mon diagnostic. Ça arrivait une fois par année, en juin habituellement, au moment où je préparais la liste des produits de beauté portant le logo du ruban rose que je souhaitais mettre en valeur dans le prochain numéro d’octobre de FASHION, de Salon, de 29Secrets ou de tout autre magazine pour lequel je travaillais à ce moment-là. À part ça, je n’y songeais pas. Aucune maladie n’occupait mes pensées en fait. Les membres de mon cercle restreint étaient tous en santé, si on exclut mon grand-père maternel mort d’une sclérose du foie en raison de son alcoolisme quand j’avais environ cinq ans et ma grand-mère paternelle décédée de la maladie d’Alzheimer au début de ma trentaine.

Cancer du sein métastatique : les plus récentes recherches et les essais cliniques

La recherche sur le cancer du sein, et plus particulièrement sur le cancer du sein métastatique (CSm), est cruciale pour nous aider à mieux comprendre cette maladie. Même si les connaissances générales sur le cancer du sein métastatique demeurent limitées, il existe des études qui s’attardent précisément à sa détection, son pronostic et son traitement. De la même façon, les essais cliniques sur le cancer du sein métastatique s’avèrent indispensables pour aider les chercheurs à améliorer les normes de soins actuelles. Vous trouverez ci-dessous une liste des plus récentes recherches et de certains essais cliniques sur le cancer du sein métastatique qui recrutent des participants en ce moment.

Série sur le mode de vie et la nutrition des patientes atteintes de cancer du sein. 4e partie : La vérité sur la relation entre le sucre et le cancer du sein

Dans le monde du cancer du sein, il existe un aliment d’une blancheur immaculée et étincelante, immensément populaire, qui fait l’objet de nombreuses méprises et de débats enflammés : le sucre. Rares sont les semaines au cours desquelles je n’entends pas ou ne lis pas que « le sucre alimente le cancer du sein », proclamé avec une certitude absolue. Les gens acceptent cela comme une vérité, mais qu’en est-il réellement ?

Tamoxi-bedaine

J’ai un problème d’image corporelle depuis huit semaines. Le plus drôle, c’est que ça n’a rien à voir avec les deux cicatrices qui traversent ma poitrine. En fait, je me suis bien adaptée à ce changement, même si la cicatrice de droite paraît bosselée et difforme. Ma prise de poids en raison du tamoxifène me cause des ennuis. Sans œstrogènes, mon ventre ressemble à un baril. Un baril de pouding avec une croûte aux flocons d’avoine ! J’ai toujours été en bonne santé et en forme, alors je suis perturbée de constater que mon corps se métamorphose.

J’ai dû travailler pendant mon traitement contre le cancer et c’était affreux

J’ai travaillé durant toute la durée de mon traitement contre le cancer du sein. Je ne voulais pas, mais je le devais. Je vis seule. Je n’ai ni mari ni conjoint. Je paie mes factures à temps, par moi-même. Oui, c’était mon choix, mais il était horrible.

Série sur le mode de vie et la nutrition des patientes atteintes de cancer du sein. 3e partie : Les liens entre l’alcool et la récidive du cancer du sein. La bière et le vin peuvent-ils accroître votre risque ?

On se rencontre pour un verre ? Pour discuter de la journée et de la vie en général avec une coupe de vin ? Avant mon cancer du sein, j’adorais le vin rouge. Que ce soit pour prendre des nouvelles d’un ami ou partager un repas avec mon mari, un verre (ou deux) d’un vin rouge corsé était de mise. Parfois, je dégustais un Chardonnay sec, mais les Zinfandel poivrés et charpentés ont conquis mon cœur. Le vin a occupé une place de choix lors de deux voyages différents en Europe. Comment pouvait-il en être autrement en visitant la Bourgogne en France et la Toscane en Italie ? Par un bel après-midi italien, mon mari et moi avons visité un vignoble méconnu. Nous avons dégusté différents vins avec des personnes rencontrées plus tôt dans la journée lors d’un cours de cuisine. L’une d’elles avait suggéré de visiter cette merveille cachée et nous les avons accompagnées avec enthousiasme. Nous ne nous connaissions que depuis quelques heures durant lesquelles nous avions cuisiné des pâtes ensemble. C’est un souvenir que je chérirai pour toujours. Dans cette vie si précieuse, il y a tant de petits plaisirs desquels on peut profiter. Un verre de très bon vin en fait partie.

Sensibilisation au cancer du sein chez l'homme

La plupart des gens pensent surtout aux femmes lorsqu’il est question de cancer du sein. Ils sont nombreux à être surpris d’apprendre que les hommes aussi peuvent en souffrir. Même si le cancer du sein chez l’homme représente moins de 1 % de tous les cas de cancer du sein, les hommes devraient savoir qu’ils ne sont pas à l’abri. Septembre est le mois de la sensibilisation au cancer du sein chez l’homme et nous profitons de ce blogue pour mieux faire connaître cette maladie.

Cinq choses qui créent de la joie dans ma vie

C’est drôle que le cancer ait modifié ce que je pense de moi-même et de ma vie. Cela n’a rien eu de comique même si, croyez-moi, j’aurais aimé rire davantage. Il ne s’agissait pas non plus d’une sorte de questionnement existentiel, même si je me suis torturé l’esprit les premières semaines suivant mon diagnostic pour trouver une explication à l’apparition de mon cancer du sein. Selon moi, c’était parce que je n’ai pas utilisé de crème solaire enfant, que j’ai bu et fumé durant ma vingtaine, que j’ai travaillé 80 heures par semaine pour gravir les échelons pendant ma trentaine et que j’ai traversé l’épreuve d’un déchirant divorce qui m’a anéantie durant ma quarantaine. Mais ce n’était pas le cas.

Parlons soins palliatifs. 6e partie : Planification des funérailles : Comment cette tâche redoutée peut en fait apporter un certain soulagement

Planifier des funérailles pourrait représenter une des tâches les plus douloureuses et difficiles que vous aurez à accomplir, en particulier s’il s’agit des vôtres. Y songer seulement peut s’avérer accablant, déchirant et causer de l’anxiété. Cela dit, bien des gens affirment que même s’ils redoutaient l’idée de devoir organiser leurs propres funérailles, finaliser ce processus leur a souvent procuré une très grande paix d’esprit et leur a enlevé un énorme poids sur les épaules. Puisque la période qui suit le décès d’un être cher s’avère extrêmement pénible pour les familles, la planification des funérailles peut les soulager d’une partie du stress. De même, elle peut vous donner la tranquillité d’esprit de savoir que vos souhaits seront respectés.

Affronter la « scanxiété »

La scanxiété n’est peut-être pas officiellement un vrai mot, mais les émotions qu’elle évoque sont bien réelles. Very Well Health la définit comme un terme utilisé pour « décrire l’anxiété ressentie par les personnes atteintes d’un cancer pendant l’attente liée à un examen d’imagerie ». Il est possible de ressentir une appréhension avant les tests d’imagerie, pendant leur déroulement et lors de l’attente des résultats, et ce peu importe si les tests ont été réalisés pour poser un diagnostic, faire le suivi d’un traitement, vérifier s’il y a une récidive ou dans le cadre d’un examen de santé de routine. L’appréhension et la peur ressenties peuvent aller de la claustrophobie dans l’appareil d’imagerie à l’anticipation du pire scénario possible. De nombreuses personnes ressentent une « scanxiété ». Il importe donc de connaître des techniques qui contribuent à éliminer l’anxiété.

Le cancer du sein et les jeunes femmes

Le cancer du sein est souvent associé aux femmes plus âgées. Les plus récentes statistiques démontrent que 83 % des cas de cancer du sein surviennent chez les femmes de 50 ans et plus. En fait, le risque de développer un cancer du sein s’accroît avec l’âge, ce qui fait de l’âge un facteur de risque. Les taux d’incidence de ce cancer augmentent après 40 ans et culminent à 70 ans.

Allaiter après un diagnostic de cancer du sein

L’allaitement naturel a été associé à quelques bienfaits pour la santé, notamment la réduction du risque de souffrir d’un cancer du sein1. Cela pourrait s’expliquer par la diminution de l’exposition à l’œstrogène et par la perte de tissu mammaire2. Mais qu’arrive-t-il lorsque l’allaitement ne peut pas réduire votre risque de cancer du sein parce que vous avez déjà reçu un tel diagnostic ? L’allaitement maternel comporte son lot de défis, mais avoir un nouveau-né tout en affrontant un cancer du sein s’accompagne de complications inédites. L’une d’entre elles consiste à savoir si vous pouvez allaiter et si c’est le cas, comment vous y prendre.

Une sensibilité à fleur de peau : l’histoire de ma pause de tamoxifène

J’espère parvenir à écrire cet article sans pleurer. Ou, si je deviens émotive, je souhaite ne pas devoir arrêter un million de fois en attendant que les sanglots s’atténuent suffisamment pour que je puisse continuer à taper mon texte. Et non, je n’exagère pas.

Le plus récent magazine numérique du RCCS : Les thérapies complémentaires

Le RCCS conçoit des magazines articulés autour de thèmes importants pour les personnes touchées par le cancer du sein. Ces magazines facilitent l’accès des patientes à de l’information en regroupant en un seul endroit des renseignements sur un sujet précis lié au cancer du sein. Les articles de notre magazine sont tirés de notre blogue À nous la parole.