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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : diagnosis

Trois choses à savoir avant de subir une tumorectomie

J’ai de la jasette. J’aime communiquer et parfois (d’accord, souvent) je parle trop. J’ai besoin de savoir ce qui se passe et pourquoi il en est ainsi. Et dans ma vision très yin et yang des choses, je suppose que puisque je dis tout, toutes les autres personnes font de même. Mais, ce n’est pas le cas.

Trois sœurs combatives face au cancer

Je suis une Loirétaine de 51 ans et j’habite près d’Orléans, à 120 kilomètres au sud de Paris. J’ai grandi entourée de femmes. Je suis la plus jeune d’une famille comptant cinq filles. J’ai 20 ans de moins que ma sœur aînée et 10 ans me séparent de ma quatrième sœur. Notre mère a reçu son diagnostic de cancer du sein en 1985 et à cette époque, les soins étaient terribles. En juillet 1986, mon père est décédé d’un arrêt cardiaque sûrement attribuable à son chagrin. Ma mère a été très courageuse et elle s’est battue de toutes ses forces. Elle est décédée en mai 1989. J’avais alors 20 ans. En raison de son diagnostic de cancer du sein, mes sœurs et moi faisons l’objet d’un suivi étroit.

Cinq choses qui créent de la joie dans ma vie

C’est drôle que le cancer ait modifié ce que je pense de moi-même et de ma vie. Cela n’a rien eu de comique même si, croyez-moi, j’aurais aimé rire davantage. Il ne s’agissait pas non plus d’une sorte de questionnement existentiel, même si je me suis torturé l’esprit les premières semaines suivant mon diagnostic pour trouver une explication à l’apparition de mon cancer du sein. Selon moi, c’était parce que je n’ai pas utilisé de crème solaire enfant, que j’ai bu et fumé durant ma vingtaine, que j’ai travaillé 80 heures par semaine pour gravir les échelons pendant ma trentaine et que j’ai traversé l’épreuve d’un déchirant divorce qui m’a anéantie durant ma quarantaine. Mais ce n’était pas le cas.

Fournir des soins alors que vous êtes une patiente

Les femmes qui vivent avec un cancer du sein ne sont pas que des patientes. Elles sont également des mères, des partenaires, des sœurs, des amies et des filles. Les nombreux rôles et responsabilités qu’elles assument pour soutenir leur entourage ne disparaissent pas lorsque tombe le diagnostic de cancer. Une de ces responsabilités peut être de prendre soin de parents vieillissants ou de membres de la famille. Ce fardeau peut parfois sembler lourd, mais il existe de l’aide. Jetez un coup d’œil aux ressources suivantes.

Le lymphœdème associé au cancer du sein. Deuxième partie : signes avant-coureurs et traitements

Dans la première partie de cet article, il a été question des facteurs de risque du lymphœdème et de conseils pour minimiser ce risque. Aujourd’hui, nous discuterons des signes avant-coureurs de cette maladie et des traitements offerts.

Le lymphœdème associé au cancer du sein 1re partie : les facteurs de risque

Le lymphœdème associé au cancer du sein consiste en l’enflure anormale du bras, de la main, du sein ou du torse qui se produit du côté où des ganglions axillaires ont été retirés pour traiter un cancer du sein. Le lymphœdème peut apparaître soudainement ou se développer graduellement. Il peut également survenir peu après l’opération ou des mois voire des années plus tard.

Que contient le nouveau Guide alimentaire canadien ?

Le nouveau Guide alimentaire canadien est, en un mot, rafraîchissant ! Tout d’abord, le regarder suffit pour nous ouvrir l’appétit. Ensuite, il met de côté la taille des portions qui portait à confusion et se concentre davantage sur des conseils pratiques pour intégrer des aliments plus sains à notre alimentation.

L’importance d’avoir accès à des ressources financières

Nous avons demandé à Tricia, une membre de notre comité consultatif formé de patientes, ce qu’elle pensait de notre tout nouvel outil numérique, Explofinances. Celui-ci est conçu de façon à faciliter l’accès aux ressources financières offertes aux patientes dans leur communauté. Voici ce qu’elle avait à nous dire.

10 façons simples d’améliorer votre Saint-Valentin lorsque vous avez un cancer du sein

Nous sommes maintenant en février, ce qui veut dire que la Saint-Valentin est à nos portes. Cette fête ne laisse personne indifférent : soit vous l’aimez, soit vous la détestez. La présence de l’éléphant dans la pièce, le cancer, peut rendre cette journée difficile, même si vous la célébrez habituellement.

« Je suis et je vais » en cette Journée mondiale contre le cancer

La Journée mondiale contre le cancer du 4 février nous offre l’occasion de réfléchir à l’année 2018, au travail accompli et à ce qu’il reste à faire. Cette année, la Journée mondiale du cancer adopte un tout nouveau slogan : « Je suis et je vais ».

Mon magnifique bébé m’a sauvé la vie

Je me rappelle être assise dans la petite salle. J’attendais que le médecin arrive. Je me sentais nerveuse, mais je n’étais pas inquiète. Le docteur entra et me demanda comment j’allais. Je répondis joyeusement, comme je le fais habituellement, que tout allait bien, mais j’ajoutai que « ça dépendait de ce qu’il avait à me dire… ha ! ha ! ha ! » Je riais, mais ma jovialité disparut rapidement lorsque mon médecin s’assit et prononça les mots « c’est mauvais ». Mon cœur s’arrêta. Il dit ensuite : « C’est le cancer ». Mon cœur s’arrêta à nouveau.

Faites la connaissance de Cathy Hemeon, nouvelle membre du conseil d’administration du RCCS

Le Réseau canadien du cancer du sein est ravi d’accueillir une nouvelle membre au sein de son conseil d’administration. Cathy Hemeon de Mount Pearl, Terre-Neuve, possède une vaste expérience dans le domaine de la santé qu’elle saura mettre à profit dans son nouveau rôle. À l’instar de toutes les autres membres du conseil d’administration du RCCS, elle est une survivante du cancer du sein. Son diagnostic de cancer du sein triple positif de stade I est tombé en février 2016 après un examen d’imagerie par résonance magnétique.

Le Guide sur les interventions chirurgicales répond à un besoin criant

Pour Andrea Sveinbjornson de Regina, le nouveau Guide sur les interventions chirurgicales du Réseau canadien du cancer du sein constitue un outil précieux qu’elle aurait aimé avoir en 2016 lorsqu’elle a dû prendre des décisions concernant une chirurgie mammaire.

Une simple analyse de sang pourrait-elle aider à déceler un cancer du sein ?

Une simple analyse de sang pourrait-elle aider à déceler un cancer du sein ? C’est ce que madame Mousumi Majumder et son équipe de chercheurs de l’Université de Brandon au Manitoba tentent de déterminer. Madame Majumder, professeure adjointe et docteure en génétique et en biologie cellulaire des cancers, compare le plasma sanguin de patientes atteintes d’un cancer du sein à celui de personnes n’en souffrant pas pour découvrir s’il existe un biomarqueur sanguin comme un micro-ARN (ou miARN) qui pourrait indiquer la présence ou le développement d’un cancer du sein chez une personne.

Vivre avec un cancer inflammatoire du sein

Je découvris une bosse dans mon sein gauche en août 2014. C’est un symptôme inhabituel du cancer inflammatoire du sein (CIS), une forme rare et agressive de la maladie qui provoque un blocage des vaisseaux lymphatiques.

Le Guide des interventions chirurgicales : pour vous aider à comprendre vos options

Nous savons toutes à quel point les opérations font partie intégrante du traitement du cancer du sein. Il s’agit habituellement de la première étape du traitement de la maladie à un stade précoce. Conséquemment, une intervention chirurgicale peut survenir rapidement après le diagnostic. Le moment où vous tentez d’assimiler l’annonce de votre diagnostic se révèle aussi souvent celui où vous prenez certaines des décisions les plus importantes concernant votre traitement et où vous devez apprendre ce nouveau langage compliqué rattaché au cancer.

L’innocence d’un tout-petit et la réalité du cancer

Il s’agissait d’un matin comme les autres. À la maison, j’essayais d’habiller mon garçon et de le faire déjeuner avant d’aller le porter à la garderie. Au moment où j’effectuais plusieurs choses en même temps, y compris me vêtir et veiller à ce que mon fils se brosse les dents, je remarquai qu’il me regardait. Il tentait toujours de comprendre les deux grandes cicatrices sur ma poitrine. Les incisions, encore récentes, guérissent tranquillement et deviennent peu à peu des cicatrices, des cicatrices qui indiquent où mes seins se trouvaient naguère. Maintenant, c’est juste vide. Il se décida finalement à parler. « Quand tes seins repousseront-ils, maman ? », demanda-t-il si innocemment.

Voici ce que vous devez savoir au sujet du cancer inflammatoire du sein

Rare et agressif, le cancer inflammatoire du sein (CIS) passe souvent sous le radar. Ses symptômes inhabituels le rendent difficile à diagnostiquer. De plus, il survient plus fréquemment chez les jeunes femmes chez qui les symptômes de CIS peuvent être confondus avec ceux d’une mastite, une infection mammaire courante dont souffrent parfois les nouvelles mères qui allaitent. Voici ce que vous devez savoir :

À propos de « Be the Choice »

J’ai reçu un diagnostic de cancer du sein en février 2016. Ce n’est que longtemps après cette annonce que j’ai maîtrisé les termes liés au cancer du sein et que j’ai pu comprendre mon diagnostic et mes options de traitement. Longtemps après que le radiologiste m’a dit qu’il soupçonnait fortement un cancer à la lumière des résultats de ma mammographie. Longtemps après que le chirurgien qui a réalisé la biopsie de mon sein m’a clairement expliqué que j’avais une masse dans le sein gauche, au moins deux ganglions lymphatiques hypertrophiés tout en ajoutant que l’année à venir s’annonçait « très difficile » pour moi. Maintenant, je maîtrise ce langage : je souffrais d’un carcinome canalaire infiltrant (T2N1) de stade 2, localement avancé, hormonodépendant et HER2 négatif. Après cette période difficile (qui a en fait duré plus d’un an), mon cancer est en rémission.

Courir sa chance

C’est bien de se fixer des objectifs ambitieux.

Je disputai mon premier marathon l’année où je fêtai mes 50 ans. J’en terminai un autre deux ans plus tard. J’adorais poursuivre des objectifs de mise en forme qui me forçaient à me dépasser physiquement. Courir régulièrement me faisait sentir forte et en bonne santé. En novembre 2015, je me donnai un nouveau but : courir un marathon à l’automne 2016 suffisamment rapidement pour me qualifier pour le marathon de Boston.