By continuing to use our site, you consent to the processing of cookies, user data (location information, type and version of the OS, the type and version of the browser, the type of device and the resolution of its screen, the source of where the user came from, from which site or for what advertisement, language OS and Browser, which pages are opened and to which buttons the user presses, ip-address) for the purpose of site functioning, retargeting and statistical surveys and reviews. If you do not want your data to be processed, please leave the site.

La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : surgery

Double mastectomie : les hauts, les bas et tout ce qu’il y a entre les deux

En décembre 2021, cela faisait quelque temps que je ne me sentais pas bien. Mon médecin de famille ne prenant pas mes préoccupations au sérieux, mon mari se sentit obligé d’intervenir. Il insista pour que l’on me fasse faire un bilan de santé avec tous les analyses et examens nécessaires. Je ne sais pas où je serais aujourd’hui si mon mari n’était pas intervenu. Je suis allée faire les analyses, mais je devais attendre le mois de mars pour la mammographie.

Développer sa résilience face aux épreuves de la vie

Quand on m’a appris que j’avais un cancer du sein, j’ai vu mon monde s’effondrer devant moi. Bouleversée, vulnérable et impuissante, je devais me préparer à vivre une terrible expérience. Je suis une entrepreneure expérimentée et, à ce titre, j’ai dû relever de nombreux défis dans ma vie, mais rien ne pouvait me préparer à un tel niveau d’angoisse. Pour la première de ma vie, j’avais peur de l’inconnu et j’avais peur de tout perdre : ma santé, ma qualité de vie, mon entreprise et tout ce que je possédais. Comment arriver à endurer tout cela?

La mode adaptative pour les personnes atteintes d’un cancer du sein

Le cancer du sein et les traitements qui y sont liés peuvent entraîner divers changements physiques : prise ou perte de poids, sensibilité au niveau de la poitrine, lymphœdème dans les membres, perte d’un sein ou des deux seins, port de prothèses mammaires. Aussi, vos vêtements peuvent ne plus vous convenir et cela peut être difficile de trouver des tenues dans lesquelles vous vous sentez bien. Alors, il est peut-être temps de faire le tri dans votre garde-robe et d’envisager d’autres options plus adaptées et plus confortables, qui vous rendront votre confiance en vous et que vous serez contente de porter.

Questions & Experts : Une thérapeute spécialisée dans le traitement des lymphœdèmes répond à vos questions sur les lymphœdèmes associés au cancer du sein

Aujourd’hui, nous vous présentons les questions qui ont été abordées lors d’une session qui a eu lieu le 20 février 2023, au cours de laquelle la thérapeute certifiée en lymphœdèmes, Marize Ibrahim, a répondu à des questions sur les lymphœdèmes associés au cancer du sein. Vous trouverez entre parenthèses la référence temporelle de chaque question dans la vidéo.

Pourquoi ce n’est pas drôle d’avoir un cancer? Raison no 4 : l’opération n’empêche pas les récidives

Dans cette série d’articles, nous présentons des extraits du livre du Dr David Stewart, A Short Primer on Why Cancer Still Sucks. Un cancer peut récidiver même si la tumeur a été complètement enlevée par voie chirurgicale. Certaines personnes ne peuvent même pas avoir recours à l’opération chirurgicale.

Quand vous êtes-vous demandé comment vous alliez pour la dernière fois?

J’ai regardé le documentaire Harry & Meghan sur Netflix. Pourtant je ne suis pas une « afficionado » de la famille royale — sauf de la princesse Diana que j’ai toujours trouvé formidable. Je m’ennuyais et j’avais besoin d’une nouvelle émission à regarder, alors je me suis dit pourquoi pas? C’est un documentaire et puis je n’avais pas accès à l’émission que je voulais vraiment voir — la nouvelle télé-réalité des Kardashian, qui passe maintenant sur Disney+. Alors, j’ai cliqué sur lecture et au bout de cinq minutes, j’étais conquise.

Huit articles qui ont facilité ma convalescence

Le jour où mon médecin m’a annoncé que j’avais un cancer du sein, j’ai rencontré mon chirurgien et mon rendez-vous pour ma mastectomie partielle (aussi appelée tumorectomie ou chirurgie mammaire conservatrice) a été fixé. Cela n’est pas surprenant. La Société du cancer du sein du Canada affirme que le cancer du sein représente le cancer le plus souvent diagnostiqué chez les Canadiennes et la deuxième cause de décès dus au cancer au Canada. Conséquemment, prendre un rendez-vous rapidement devient une priorité.

Trois choses à savoir avant de subir une tumorectomie

J’ai de la jasette. J’aime communiquer et parfois (d’accord, souvent) je parle trop. J’ai besoin de savoir ce qui se passe et pourquoi il en est ainsi. Et dans ma vision très yin et yang des choses, je suppose que puisque je dis tout, toutes les autres personnes font de même. Mais, ce n’est pas le cas.

Affronter la « scanxiété »

La scanxiété n’est peut-être pas officiellement un vrai mot, mais les émotions qu’elle évoque sont bien réelles. Very Well Health la définit comme un terme utilisé pour « décrire l’anxiété ressentie par les personnes atteintes d’un cancer pendant l’attente liée à un examen d’imagerie ». Il est possible de ressentir une appréhension avant les tests d’imagerie, pendant leur déroulement et lors de l’attente des résultats, et ce peu importe si les tests ont été réalisés pour poser un diagnostic, faire le suivi d’un traitement, vérifier s’il y a une récidive ou dans le cadre d’un examen de santé de routine. L’appréhension et la peur ressenties peuvent aller de la claustrophobie dans l’appareil d’imagerie à l’anticipation du pire scénario possible. De nombreuses personnes ressentent une « scanxiété ». Il importe donc de connaître des techniques qui contribuent à éliminer l’anxiété.

Passer à un cheveu

Le cancer du sein a rendu mes cheveux plus épais. Et plus ondulés. Pas d’un seul coup bien sûr. Ce n’est pas comme si j’avais reçu un cadeau spécial pour compenser le choc et la peur associés au fait d’avoir un cancer du sein.

Est-il sécuritaire de recevoir des traitements contre le cancer durant la pandémie de COVID-19 ?

La pandémie de COVID-19 s’avère particulièrement inquiétante et difficile pour de nombreux patients atteints de cancer et leur famille. Comme vous l’avez sans doute déjà entendu, les patients atteints de cancer et les survivants pourraient présenter un risque plus élevé de souffrir de complications liées à la COVID-19. En effet, le cancer et ses traitements peuvent contribuer à affaiblir le système immunitaire. De nombreux patients se posent donc des questions sur la meilleure approche à préconiser pour leurs soins oncologiques. Ils se demandent entre autres s’il est sécuritaire de poursuivre leur traitement, s’ils seront dorénavant considérés comme non prioritaires par le système de santé et de quelle façon ils peuvent réduire leur risque de contracter le virus.

Donner des soins et en recevoir

Nous devons toutes, à un certain moment, assumer la responsabilité de proche aidante. Pour certaines d’entre nous, ce moment coïncide avec celui durant lequel nous avons également besoin de soins. Au moment où mon mari se remettait d’une opération cardiaque et attendait une greffe de rein pour laquelle j’étais donneuse, je reçus un diagnostic de cancer du sein. Mon intervention chirurgicale ne tarda pas et je pus éviter les épreuves et les traumatismes occasionnés par la radiothérapie et la chimiothérapie. J’en demeure à jamais très reconnaissante. Cependant, la détresse occasionnée par tout cela fut incommensurable.

Réduire le risque de cancers héréditaires du sein et de l’ovaire : le témoignage d’une femme

En octobre 2013, Allegra Kawa, qui habite Edmonton, subit l’ablation chirurgicale de ses deux seins. Elle songe également à la possibilité d’opter pour une hystérectomie et une ovariectomie.

Des nouvelles du San Antonio Breast Cancer Symposium de 2019

Chaque année, des scientifiques, cliniciens et patients de partout dans le monde se réunissent au San Antonio Breast Cancer Symposium pour discuter des plus récentes recherches sur le cancer du sein. Nous vous présentons quelques points saillants de la conférence de 2019 :

Quelle différence existe-t-il entre la physiothérapie et l’ergothérapie ?

Bien vivre avec un cancer du sein ou s’en rétablir nécessite une réadaptation. La physiothérapie et l’ergothérapie sont des termes souvent mentionnés lorsqu’il est question de réadaptation, mais leur signification véritable s’avère parfois obscure.

Conseils postopératoires de femmes passées par là

En gros, les interventions chirurgicales sont horribles. Votre corps se remet d’un traumatisme majeur. Même si vous aviez l’impression d’être relativement en santé avant l’opération, les lendemains peuvent vous paraître catastrophiques. Nous avons demandé à des femmes de nous fournir des conseils pour rendre la convalescence un peu plus supportable.

Le lymphœdème associé au cancer du sein. Deuxième partie : signes avant-coureurs et traitements

Dans la première partie de cet article, il a été question des facteurs de risque du lymphœdème et de conseils pour minimiser ce risque. Aujourd’hui, nous discuterons des signes avant-coureurs de cette maladie et des traitements offerts.

Le lymphœdème associé au cancer du sein 1re partie : les facteurs de risque

Le lymphœdème associé au cancer du sein consiste en l’enflure anormale du bras, de la main, du sein ou du torse qui se produit du côté où des ganglions axillaires ont été retirés pour traiter un cancer du sein. Le lymphœdème peut apparaître soudainement ou se développer graduellement. Il peut également survenir peu après l’opération ou des mois voire des années plus tard.

Mon magnifique bébé m’a sauvé la vie

Je me rappelle être assise dans la petite salle. J’attendais que le médecin arrive. Je me sentais nerveuse, mais je n’étais pas inquiète. Le docteur entra et me demanda comment j’allais. Je répondis joyeusement, comme je le fais habituellement, que tout allait bien, mais j’ajoutai que « ça dépendait de ce qu’il avait à me dire… ha ! ha ! ha ! » Je riais, mais ma jovialité disparut rapidement lorsque mon médecin s’assit et prononça les mots « c’est mauvais ». Mon cœur s’arrêta. Il dit ensuite : « C’est le cancer ». Mon cœur s’arrêta à nouveau.

La liberté de vivre sans seins

Je m’appelle Alison Thompson et j’ai reçu un diagnostic de cancer du sein il y a cinq ans. Pour vous donner un peu de contexte, ma mère aussi a reçu un diagnostic de cancer du sein il y a une quinzaine d’années. Son cancer était agressif ; il s’est propagé à sa colonne vertébrale et à son cerveau. Elle est décédée environ trois ans après son diagnostic initial.