By continuing to use our site, you consent to the processing of cookies, user data (location information, type and version of the OS, the type and version of the browser, the type of device and the resolution of its screen, the source of where the user came from, from which site or for what advertisement, language OS and Browser, which pages are opened and to which buttons the user presses, ip-address) for the purpose of site functioning, retargeting and statistical surveys and reviews. If you do not want your data to be processed, please leave the site.

La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : cancer treatment

Tout ce que vous devez savoir sur le tatouage artistique après une mastectomie

Après une mastectomie, une panoplie d’options s’offre à vous. Vous pouvez choisir de garder votre poitrine telle quelle, de faire une reconstruction mammaire, de vous faire poser des implants ou d’utiliser des prothèses. Mais vous pouvez également choisir de faire un tatouage artistique. Les femmes qui choisissent cette voie le font pour plusieurs raisons : renforcer la confiance en soi, masquer les cicatrices, porter quelque chose de beau ou encore symboliser cet événement de leur vie.

Comment survivre au tamoxifène : tout ce que vous devez savoir et qu’on ne vous dit pas!

Rien ne saurait vous préparer à l’avalanche d’effets indésirables que le tamoxifène, un médicament anti-œstrogénique, peut avoir sur votre organisme et votre vie. C’est ce que je pense maintenant. Parce que ce n’était pas le cas lorsque mon oncologue m’a remis l’ordonnance pour un traitement de 10 mg par jour pendant cinq ans, accompagnée d’une brochure répertoriant une quarantaine d’effets secondaires possibles. Ensuite, en pas plus de 45 secondes, il m’a expliqué tellement rapidement le fonctionnement du médicament et les effets secondaires que je pourrais ressentir — bouffées de chaleur, prise de poids, règles irrégulières — que je me suis dit que tout se passerait bien et qu’il n’y avait pas de quoi en faire tout un plat! Je me disais que s’il y avait quoi que ce soit d’inquiétant, il m’aurait prévenue. Et puis, des milliers de femmes prennent ce traitement tous les jours sans se plaindre... Je n’avais donc pas à me faire du souci.

Vous venez de recevoir votre diagnostic (1re partie)

Vous venez d’apprendre que vous avez un cancer du sein et vous êtes bouleversée, déconcertée, terrifiée, voire plus. Vous avez du mal à accepter la nouvelle et vous ne savez pas par où commencer pour trouver de l’information sur la maladie ni comment vous préparer psychologiquement. Bien que l’on vous ait certainement remis de la documentation, il y a d’autres choses que vous voulez savoir à propos de cette maladie qui va changer votre vie. Vous avez effectué des recherches sur Google, mais vous n’arrivez pas à trouver de l’information non médicale.

À quoi servent toutes ces analyses que l’on vous prescrit?

Afin d’établir un diagnostic, votre équipe soignante vous demandera d’effectuer différentes analyses de sang. Le plus souvent, ces analyses devront être régulièrement effectuées : à l’étape du diagnostic, pendant le traitement, pendant la période de suivi et au-delà. Chaque diagnostic et chaque traitement ont des spécificités qui nécessitent d’être surveillées. S’agissant des résultats des analyses, la plage normale de valeurs reflète uniquement les valeurs moyennes pour ces analyses au sein de la population. Il est possible d’obtenir des résultats qui se situent légèrement en dehors d’une plage normale de valeurs sans que cela n’ait de conséquence; dans ce cas, votre équipe soignante saura vous renseigner sur la pertinence de vos résultats.

Trois choses à prendre en compte si vous envisagez d’arrêter le tamoxifène

Si vous avez un cancer du sein, vous avez sûrement déjà entendu parler du tamoxifène. Je me rappelle la première fois où mon oncologue m’a parlé de ce médicament qui relève de l’hormonothérapie. C’était pendant l’un de mes contrôles hebdomadaires, lors de mes séances quotidiennes de radiothérapie. Il m’a expliqué qu’à cause du fait que les cellules cancéreuses trouvées dans mon sein droit présentaient 95 % de récepteurs pour l’œstrogène et la progestérone, les hormones produites naturellement dans mon corps pouvaient se fixer aux cellules cancéreuses et les aider à se développer. Bien entendu, j’ai accepté de prendre ce médicament sans aucune hésitation.

Allaiter après un diagnostic de cancer du sein

L’allaitement naturel a été associé à quelques bienfaits pour la santé, notamment la réduction du risque de souffrir d’un cancer du sein1. Cela pourrait s’expliquer par la diminution de l’exposition à l’œstrogène et par la perte de tissu mammaire2. Mais qu’arrive-t-il lorsque l’allaitement ne peut pas réduire votre risque de cancer du sein parce que vous avez déjà reçu un tel diagnostic ? L’allaitement maternel comporte son lot de défis, mais avoir un nouveau-né tout en affrontant un cancer du sein s’accompagne de complications inédites. L’une d’entre elles consiste à savoir si vous pouvez allaiter et si c’est le cas, comment vous y prendre.

Une sensibilité à fleur de peau : l’histoire de ma pause de tamoxifène

J’espère parvenir à écrire cet article sans pleurer. Ou, si je deviens émotive, je souhaite ne pas devoir arrêter un million de fois en attendant que les sanglots s’atténuent suffisamment pour que je puisse continuer à taper mon texte. Et non, je n’exagère pas.

Le plus récent magazine numérique du RCCS : Les thérapies complémentaires

Le RCCS conçoit des magazines articulés autour de thèmes importants pour les personnes touchées par le cancer du sein. Ces magazines facilitent l’accès des patientes à de l’information en regroupant en un seul endroit des renseignements sur un sujet précis lié au cancer du sein. Les articles de notre magazine sont tirés de notre blogue À nous la parole.

Les répercussions de la COVID-19 sur les patientes atteintes d’un cancer du sein. 2e partie : L’impact du traitement et de la prise en charge de votre cancer sur votre système immunitaire

Le risque que courent les patientes atteintes d’un cancer du sein et de la COVID-19 n’est pas entièrement connu. Des études démontrent que les patients atteints de cancer sont plus à risque de souffrir d’effets néfastes s’ils développent la COVID-19. Cependant, quelques recherches affirment que comparativement à d’autres patients cancéreux, les personnes atteintes d’un cancer du sein présentent moins de risque de souffrir d’une forme sévère de la maladie. Le stade de la maladie semble également jouer un rôle dans le niveau de risque couru.

Les répercussions de la COVID-19 sur les patientes atteintes d’un cancer du sein. 1re partie : le report des traitements et des interventions chirurgicales

Les individus ayant reçu un diagnostic de cancer sont considérés comme présentant un risque élevé de tomber gravement malades s’ils contractent la COVID-19. Les données provenant de différentes études illustrent que le type de cancer et son stade, l’âge de la personne, son état de santé et d’autres facteurs font varier le degré de risque auquel fait face un patient. De plus, le type de traitement qu’une personne reçoit et la durée de son dernier traitement peuvent également se répercuter sur l’issue de la maladie. Parallèlement, quelques études ont démontré que les patientes atteintes de cancer du sein s’en tiraient mieux que les patients atteints d’autres formes de cancer.

Suspendue dans le vide en attendant que commence le reste de ma vie

Jenn Abbott compare la fin de son traitement contre le cancer à un trapèze volant. Depuis l’annonce de la nouvelle selon laquelle il n’y a plus de signe de la maladie, elle flotte dans les airs. Elle ne tient plus la barre que représente l’équipe médicale qui lui a sauvé la vie, mais elle n’a toujours pas attrapé la barre qui symbolise le reste de sa vie après le cancer. Elle vit dans l’incertitude. Elle doit affronter un trouble de choc post-traumatique provoqué par son traitement contre le cancer qui consista en cinq interventions chirurgicales et en une réaction allergique sévère à la chimiothérapie pour laquelle elle dut être hospitalisée pendant deux semaines. Elle croit bel et bien qu’un traitement contre le cancer peut déclencher un trouble de choc post-traumatique.

Demandez à un expert : la neutropénie fébrile expliquée

La neutropénie fébrile est un effet secondaire fréquent et potentiellement grave de la chimiothérapie.

La fatigue liée au cancer : liste de questions et réponse

La fatigue étant un symptôme prédominant du cancer, le RCCS a fait appel à Georden Jones pour obtenir des conseils sur les moyens de l’atténuer. Georden est une étudiante au doctorat en psychologie clinique à l’Université d’Ottawa dont la thèse porte sur la fatigue liée au cancer. Elle s’attarde plus particulièrement à l’expérience des patients aux prises avec ce symptôme et à la façon de mettre en place des programmes d’évaluation et d’intervention dédiés à la fatigue reliée au cancer.