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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Catégorie : Témoignages

À propos de « Be the Choice »

J’ai reçu un diagnostic de cancer du sein en février 2016. Ce n’est que longtemps après cette annonce que j’ai maîtrisé les termes liés au cancer du sein et que j’ai pu comprendre mon diagnostic et mes options de traitement. Longtemps après que le radiologiste m’a dit qu’il soupçonnait fortement un cancer à la lumière des résultats de ma mammographie. Longtemps après que le chirurgien qui a réalisé la biopsie de mon sein m’a clairement expliqué que j’avais une masse dans le sein gauche, au moins deux ganglions lymphatiques hypertrophiés tout en ajoutant que l’année à venir s’annonçait « très difficile » pour moi. Maintenant, je maîtrise ce langage : je souffrais d’un carcinome canalaire infiltrant (T2N1) de stade 2, localement avancé, hormonodépendant et HER2 négatif. Après cette période difficile (qui a en fait duré plus d’un an), mon cancer est en rémission.

Comprendre les biosimilaires : une patiente vous explique

En tant que survivante du cancer du sein et membre du conseil d’administration du RCCS, je m’intéresse grandement à la façon dont les biosimilaires seront employés pour traiter le cancer du sein au Canada. Même s’ils ne sont pas bien connus de tous aujourd’hui, ils feront bientôt l’objet de discussions dans les foyers des personnes atteintes de cette maladie. Comme patientes, il importe que nous comprenions leur utilisation, surtout s’ils servent de solutions de rechange efficaces aux traitements de marque déposée. Voici selon moi certains des éléments importants dont nous, les patientes, devrions tenir compte.

Ce que vous devez savoir : Participer à des essais cliniques dans une autre province ou hors du pays

Je vis avec un cancer du sein métastatique depuis plus de huit ans. Même si je suis généralement opposée à la comparaison de la vie avec un cancer et en mourir à un combat, je considère que j’ai dû lutter, persévérer et travailler fort pour obtenir les meilleurs soins. Heureusement pour moi, les tumeurs à récepteurs hormonaux positifs (ER+/PR+) de ma plèvre, de mon foie et de ma lymphe ont répondu à l’hormonothérapie, mais pas de façon spectaculaire. Je suis maintenant rendue à ma septième série de traitements.

L’importance de connaître la densité de vos seins

En avril 2014, je me rendis à Régina pour une mammographie de dépistage. L’avis que j’avais reçu spécifiait que je devais passer une mammographie tous les ans pour cause de « tissu mammaire dense ». C’était la première fois que j’entendais ce terme. Arrivée sur les lieux, je précisai à la technicienne que ma lettre mentionnait ma forte densité mammaire. Après la mammographie, elle observa les images et me confirma que j’avais les seins denses. Je n’avais aucune idée de ce que cela représentait pour moi, mais je l’appris assez rapidement.

Les lésions nerveuses : un effet secondaire méconnu de la radiothérapie

Il y a environ dix ans, Charlotte Pennell taillait les arbustes de son jardin à Winnipeg. Une branche lui sembla particulièrement difficile à couper. Elle baissa les yeux et remarqua qu’elle coupait un de ses doigts. Elle fut horrifiée en constatant qu’elle ressentait aussi peu de sensations dans sa main.

Suspendue dans le vide en attendant que commence le reste de ma vie

Jenn Abbott compare la fin de son traitement contre le cancer à un trapèze volant. Depuis l’annonce de la nouvelle selon laquelle il n’y a plus de signe de la maladie, elle flotte dans les airs. Elle ne tient plus la barre que représente l’équipe médicale qui lui a sauvé la vie, mais elle n’a toujours pas attrapé la barre qui symbolise le reste de sa vie après le cancer. Elle vit dans l’incertitude. Elle doit affronter un trouble de choc post-traumatique provoqué par son traitement contre le cancer qui consista en cinq interventions chirurgicales et en une réaction allergique sévère à la chimiothérapie pour laquelle elle dut être hospitalisée pendant deux semaines. Elle croit bel et bien qu’un traitement contre le cancer peut déclencher un trouble de choc post-traumatique.

Survivre au cancer du sein et vivre avec un lymphœdème

Le 4 janvier 2010, je me métamorphosai en mouche posée sur le mur du bureau de mon chirurgien. Je le rencontrais pour recevoir les résultats de ma biopsie. Nous croyions qu’il s’agirait d’un rendez-vous rapide puisque le test préliminaire des fluides avant la biopsie n’avait révélé aucune trace de cancer. Je me rappelle entendre le médecin me dire : « Malheureusement c’était cancéreux… » J’eus l’impression de vivre une expérience extracorporelle. Je nous observais de haut, mon médecin et moi. Mon monde changea soudainement, physiquement et mentalement.

Vivre comme si j’étais sur le point de mourir

Je viens d’Ottawa. En mars 2011, je reçus de novo un diagnostic de cancer du sein métastatique accompagné de métastases aux os. Je suis une mère, une fille, une sœur, une artiste, une lesbienne, une athée et une jardinière de 53 ans.

La marijuana médicinale soulage la douleur, les bouffées de chaleur et l’insomnie d’une patiente atteinte d’un cancer métastatique

Cindy Blondeau de Moosomin en Saskatchewan se réjouit de la légalisation de la marijuana par le gouvernement fédéral. L’huile de CBD pure extraite du cannabis donne de meilleurs résultats que tous les autres analgésiques essayés par cette patiente atteinte d’un cancer du sein métastatique.

Repenser la pente glissante : la résilience, le cancer du sein métastatique et moi

« Monte en utilisant les marches. Glisse sur la glissoire. Non chérie. MONTE par les marches. » Elle pouvait à peine marcher, mais elle remontait la glissoire. C’est encore le cas aujourd’hui. Passez dix minutes dans un parc : la tentation de gravir la glissade est indéniable. Je suis très consciente des dangers d’une telle pratique : celui de chuter, celui d’entrer en collision avec les autres enfants. Je me rappelle vaguement tomber en bas d’une glissoire, il y a quelques décennies. Il s’agissait d’un de ces vieux modèles, hauts, sous lesquels il n’y avait pas les surfaces amortissantes d’aujourd’hui. J’aime voir tous les gens aller dans la même direction : monter par les marches et glisser en bas. J’aime quand les choses sont agréables, ordonnées, prévisibles et sécuritaires.