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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Catégorie : Témoignages

Une femme sur neuf : comment une exposition racontant mon histoire m’a aidée à guérir

J’avais 46 ans lorsque je reçus un diagnostic de cancer du sein multifocal, canalaire, lobulaire et infiltrant de stade 2 et de grade 3. Je découvris moi-même la bosse au terme d’une année au cours de laquelle des kystes s’infectaient constamment dans mon sein. La très grande densité de mes seins expliquait en partie pourquoi le cancer ne put être détecté par les mammographies. Une biopsie confirma le diagnostic. Une mastectomie au sein droit et quatre cycles de chimiothérapie eurent lieu peu de temps après. Six mois plus tard, je choisis de subir une ablation du sein gauche et j’entrepris une reconstruction mammaire.

Courir sa chance

C’est bien de se fixer des objectifs ambitieux.

Je disputai mon premier marathon l’année où je fêtai mes 50 ans. J’en terminai un autre deux ans plus tard. J’adorais poursuivre des objectifs de mise en forme qui me forçaient à me dépasser physiquement. Courir régulièrement me faisait sentir forte et en bonne santé. En novembre 2015, je me donnai un nouveau but : courir un marathon à l’automne 2016 suffisamment rapidement pour me qualifier pour le marathon de Boston.

Méritons-nous ce mode de financement des médicaments ?

Quand je commençai à me sentir malade à l’été 2011, j’étais presque certaine de savoir ce qui n’allait pas. Je pensais que c’était mon endométriose qui faisait des siennes. Puis mes symptômes se transformèrent. Une recherche sur Google me convainquit qu’une ablation de ma vésicule biliaire devenait maintenant nécessaire. J’exagère, mais il demeure que malgré l’augmentation du nombre de signes avant-coureurs disparates, je restais persuadée qu’il y avait une explication toute simple. Je ne songeai jamais au cancer, même lorsque le gynécologue trouva dans mon sein une bosse dont j’ignorais l’existence.

Comment je repris le contrôle de ma vie après avoir cru le perdre aux mains du cancer du sein

Cet épisode de ma vie commença en 2015, la veille du jour de l’An, quand j’aperçus une marque rouge sur mon sein droit. En moins de deux, je fus prise d’un vertige, mon visage s’empourpra et je tentai tant bien que mal d’avaler cette boule qui était maintenant coincée dans ma gorge.

Surmonter les effets secondaires permanents du cancer du sein

En 2011, Wendie Hayes de Stoney Creek Mountain en Ontario découvrit une bosse dans son sein droit. À 55 ans, elle reçut un diagnostic de cancer métaplasique du sein triple négatif à tumeur phyllode. Ce type de cancer étant rare (moins d’un pour cent des cas), en arriver au bon diagnostic prit un certain temps.

En souvenir de Laurie Kingston

It seems impossible to try to capture the essence of who someone is, was, through just words. Because there are no words that really do justice to honour a person like Laurie Kingston and how her life touched so many people, people she didn’t even know. It is with great sadness that we mourn the loss of Laurie, one of CBCN’s board members, who passed away on January 8, 2018.

Ce qui a influencé mes choix liés aux effets secondaires

Je n’étais pas prête à prendre autant de décisions concernant mon traitement. Une multitude d’options s’offraient à moi et je me sentais épuisée et dépassée. À partir du moment où j’ai reçu mon diagnostic, j’ai dû faire des choix qui pouvaient changer ma vie. Comment pouvais-je m’assurer qu’ils étaient les bons ? J’ai dû apprendre à me faire confiance et à défendre mes propres intérêts lorsqu’arrivait le moment de choisir.

Une patiente atteinte d’un cancer du sein métastatique fait face à des montagnes russes d’émotions

Pour Naomi Pickersgill, vivre avec un cancer du sein métastatique et être confrontée à sa propre mort génèrent des « montagnes russes d’émotions ».

Vivre avec le cancer du sein métastatique et apprendre à savourer chaque jour

Adriana Capozzi de Bradford en Ontario reçut un diagnostic de cancer du sein de stade III surexprimant HER2 en octobre 2014. Elle subit alors une mastectomie bilatérale, 25 séances de radiothérapie, quatre mois de chimiothérapie en plus de prendre de l’Herceptin pendant un an.

Si je pouvais encapsuler le temps

Je n’ai jamais été une inconditionnelle des montagnes russes. Toutes ces montées et ces descentes me donnent des nausées. Ironiquement, ma vie ressemble maintenant à un tour de montagnes russes !