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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Catégorie : Témoignages

Le cancer du sein m’a préparée pour la COVID-19

Le cancer du sein m’a préparée pour la COVID. En fait, si je veux être très exacte, je devrais plutôt dire que la radiothérapie m’a préparée au coronavirus et pratiquement tout ce qui découle de cette pandémie.

Le dépistage a sauvé ma vie

J’avais cinq ans quand je tombai de la balançoire dans ma cour arrière. Mon côté droit encaissa le choc. Je ne sais pas comment je me retrouvai suspendue à la barre supérieure transversale, la tête en bas, sans supervision, mais je crois qu’on peut dire sans se tromper que j’imitais ma grande sœur et ses camarades de jeu. J’étais déjà très compétitive. Dès qu’une personne accomplissait quelque chose, je voulais prouver que moi aussi j’en étais capable. Mon entêtement se traduisit par un coude droit brisé, une écharpe et un plâtre. Tout l’été, je dus (sup)porter mon plâtre chaud et les démangeaisons qui l’accompagnaient, non sans me plaindre. Cet accident me laissa avec une double articulation au coude qui deviendra l’ennemie de mes entraîneurs de nage synchronisée. Du bord de la piscine, ils me criaient de garder mon bras droit bien droit, mais cette double articulation rendait la tâche ardue. Nous reviendrons plus tard à la nage synchronisée.

Faites la connaissance d’Adriana Ermter

Une fois par mois environ, nous partagerons avec vous le témoignage d’une blogueuse invitée, Adriana Ermter. Rédactrice en chef et auteure, Adriana a grandi à Calgary, en Alberta, et habite maintenant en Ontario, à Toronto plus précisément. Au cours des quinze dernières années, elle a occupé des postes de rédactrice en chef et de contributrice pour des journaux, des magazines et des publications en ligne. Elle a de surcroît été entraîneuse de nage synchronisée à temps partiel.

Donner des soins et en recevoir

Nous devons toutes, à un certain moment, assumer la responsabilité de proche aidante. Pour certaines d’entre nous, ce moment coïncide avec celui durant lequel nous avons également besoin de soins. Au moment où mon mari se remettait d’une opération cardiaque et attendait une greffe de rein pour laquelle j’étais donneuse, je reçus un diagnostic de cancer du sein. Mon intervention chirurgicale ne tarda pas et je pus éviter les épreuves et les traumatismes occasionnés par la radiothérapie et la chimiothérapie. J’en demeure à jamais très reconnaissante. Cependant, la détresse occasionnée par tout cela fut incommensurable.

Demeurer maître de son dossier médical, garder espoir et persévérer

Par Elyse Normandin

Je suis une femme de 43 ans, maman de deux enfants incroyables, en amour depuis 20 ans avec mon merveilleux Martin et professionnelle de recherche dans le domaine de la santé. J’étais, jusqu’en août 2018, considérée comme survivante d’un cancer du sein que j’avais traité du mieux possible, alors que mon garçon n’avait pas encore un an (en 2012), par des traitements de chimiothérapie, de radiothérapie et d’hormonothérapie, par une mastectomie et finalement une reconstruction mammaire.

Réduire le risque de cancers héréditaires du sein et de l’ovaire : le témoignage d’une femme

En octobre 2013, Allegra Kawa, qui habite Edmonton, subit l’ablation chirurgicale de ses deux seins. Elle songe également à la possibilité d’opter pour une hystérectomie et une ovariectomie.

Ce que je pense honnêtement du livre The Complete Lymphedema Management and Nutrition Guide

Je me rappelle le choc ressenti lorsque j’ai appris l’existence du lymphœdème, un problème de santé chronique incurable qui m’accompagnera pour le reste de ma vie. Mes probabilités d’en être atteinte s’avéraient élevées puisque j’ai souffert d’un cancer inflammatoire du sein de stade III qui a nécessité l’ablation de tous mes ganglions lymphatiques axillaires du côté gauche.

Le coût élevé du cancer

Vivre dans une communauté éloignée comme celle de Labrador City apporte son lot de défis. Nous n’avons qu’une seule épicerie où les prix sont élevés, l’essence coûte 1,34 $/L et il n’y a ni cinéma, ni boîte de nuit, ni autres lieux de divertissement. Quitter le Labrador signifie acheter un billet d’avion très dispendieux ou conduire entre 7 et 14 heures (tout dépendant de la direction prise) sur une autoroute partiellement asphaltée dont certaines sections sont souvent comparées à un sentier pour les vaches. Le défi le plus crucial demeure cependant l’accès à des soins de santé adéquats. Je l’ai personnellement constaté lorsque j’ai reçu mon diagnostic de cancer.

Cette masse palpable

Je pourrais débuter ce texte comme le font toutes les séances de groupe de discussion :

— Bonjour, mon nom est Rébecca, j’ai 37 ans et un cancer du sein.

— Bonjour Rébecca.

Je pourrais. *Soupir*.

L’expérience vécue fixe les priorités de recherche en matière de reconstruction mammaire

Selon la survivante du cancer du sein et membre du conseil d’administration du RCCS Cathy Hemeon de Mount Pearl, Terre-Neuve, « les patientes atteintes d’un cancer du sein fournissent les meilleurs conseils et témoignages afin d’établir des priorités de recherche ». Cathy fut donc ravie de participer à une rencontre nationale qui réunissait des patientes, soignants et cliniciens canadiens qui s’étaient fixé comme objectif de cerner les dix principales priorités en recherche sur la reconstruction mammaire post-mastectomie.