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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : treatment

Ce que je sais sur les vaccins contre le cancer du sein

Dernièrement, il semblerait que tout le monde parle des vaccins contre le cancer du sein — actualités, Reddit, Instagram. Mais, moi, ce qui m’intéresse, c’est de savoir si ces vaccins sont bien la poule aux œufs d’or que les femmes comme moi, qui sommes en prise avec un cancer du sein ou en rémission, attendons.

Êtes-vous capable de finir votre traitement de tamoxifène?

J’ai échoué au tamoxifène. J’ai arrêté le traitement juste avant d’atteindre la moitié de la durée qui m’avait été prescrite — 5 ans. Au bout de 14 jours, cet antiœstrogène avait complètement détruit ma mémoire à court terme, puis il a commencé à me tourmenter quotidiennement avec sa propre version de 99 Problems de Jay-Z. Je suis tellement chanceuse, que j’ai vécu chacun de ces 99 problèmes!

Parlez-nous des effets secondaires de la chimiothérapie

Beaucoup de personnes prenant des traitements contre le cancer du sein connaissent des effets secondaires indésirables. Même si la chimiothérapie systémique, la radiothérapie et les thérapies ciblées sont des traitements efficaces contre la maladie, la gestion des effets secondaires qui en découlent peut être difficile. Nous avons demandé à plusieurs personnes atteintes d’un cancer du sein de nous parler de leur expérience en la matière.

L’humour en temps de crise 2 - extraits du livre Angel in the Marble

À la minute où l’on apprend que l’on a un cancer du sein, on commence à chercher une cure miracle. Pour moi, ça consistait à tout connaître sur la maladie et à revoir mon mode de vie dans son intégralité : exercice physique, pratique spirituelle, alimentation. En quelques jours, je connaissais les dernières avancées dans la recherche contre le cancer et j’avais découvert la dernière potion magique à la mode pour remédier au problème! C’est donc avec hargne et désir de vengeance (voire de canonisation) que je me consacrai, corps et âme, à cette cure miracle : le curcuma. J’en prenais quatre pilules par jour et buvais du lait d’or indien, du thé au citron et au curcuma, matin, midi et soir. Ma peau prit une couleur orange-Trump, les comptoirs de ma cuisine furent tâchés de jaune à jamais et je me sentais d’enfer! Je prenais des shots de vinaigre de cidre de pomme suivis de jus de grenade. J’engloutissais chanvre, graines de chia, lin et pollen d’abeille. Et puis un jour, ma fille, Sonja, apporta à la maison le Saint Graal : un robot-cuiseur Vitamix qui allait devenir mon chaudron magique, ce contenant sacré dans lequel je préparerais toutes mes concoctions en n’oubliant pas d’y ajouter moult chou frisé, gingembre, bleuets et eau de coco.

Comment saisir l’Ombudsman des assurances de personnes (OAP) pour contester un refus de prise en charge par votre assureur

Que faire si votre compagnie d’assurance refuse de prendre en charge ou de rembourser des frais relatifs aux traitements contre le cancer? Lorsqu’on nous pose cette question — ce qui arrive souvent, nous redirigeons les personnes vers l’Ombudsman des assurances de personnes (OAP). Mais quel est cet organisme? Comment peut-il vous aider?

Requérir un deuxième avis médical dans le système de santé canadien

En matière de diagnostic de cancer du sein, on s’entend souvent dire qu’il faut faire confiance à son intuition et chercher à obtenir un deuxième avis médical si l’on a des doutes quant aux informations que l’on a reçues. Ce conseil, qui part souvent d’une bonne intention, n’est pas toujours facile à appliquer. Dans d’autres pays, comme les États-Unis, l’obtention d’un deuxième avis est relativement simple, contrairement au Canada, où cela peut être particulièrement délicat.

Quelle est l’influence de la race et de l’ethnicité sur le cancer du sein?

Avec plus de 2,2 millions de cas en 2020, le cancer du sein est la forme la plus commune du cancer selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). On estime qu’une femme sur douze sera atteinte d’un cancer du sein et que celui-ci sera la cause principale de décès par cancer chez les femmes. Toutefois, grâce à l’augmentation du taux de détection précoce, aux programmes de dépistage et à l’amélioration des traitements, le taux de survie au cancer du sein n’a cessé de s’améliorer depuis les années 1980.

Trois choses à savoir avant de subir une tumorectomie

J’ai de la jasette. J’aime communiquer et parfois (d’accord, souvent) je parle trop. J’ai besoin de savoir ce qui se passe et pourquoi il en est ainsi. Et dans ma vision très yin et yang des choses, je suppose que puisque je dis tout, toutes les autres personnes font de même. Mais, ce n’est pas le cas.

Tamoxi-bedaine

J’ai un problème d’image corporelle depuis huit semaines. Le plus drôle, c’est que ça n’a rien à voir avec les deux cicatrices qui traversent ma poitrine. En fait, je me suis bien adaptée à ce changement, même si la cicatrice de droite paraît bosselée et difforme. Ma prise de poids en raison du tamoxifène me cause des ennuis. Sans œstrogènes, mon ventre ressemble à un baril. Un baril de pouding avec une croûte aux flocons d’avoine ! J’ai toujours été en bonne santé et en forme, alors je suis perturbée de constater que mon corps se métamorphose.

J’ai dû travailler pendant mon traitement contre le cancer et c’était affreux

J’ai travaillé durant toute la durée de mon traitement contre le cancer du sein. Je ne voulais pas, mais je le devais. Je vis seule. Je n’ai ni mari ni conjoint. Je paie mes factures à temps, par moi-même. Oui, c’était mon choix, mais il était horrible.

Affronter la « scanxiété »

La scanxiété n’est peut-être pas officiellement un vrai mot, mais les émotions qu’elle évoque sont bien réelles. Very Well Health la définit comme un terme utilisé pour « décrire l’anxiété ressentie par les personnes atteintes d’un cancer pendant l’attente liée à un examen d’imagerie ». Il est possible de ressentir une appréhension avant les tests d’imagerie, pendant leur déroulement et lors de l’attente des résultats, et ce peu importe si les tests ont été réalisés pour poser un diagnostic, faire le suivi d’un traitement, vérifier s’il y a une récidive ou dans le cadre d’un examen de santé de routine. L’appréhension et la peur ressenties peuvent aller de la claustrophobie dans l’appareil d’imagerie à l’anticipation du pire scénario possible. De nombreuses personnes ressentent une « scanxiété ». Il importe donc de connaître des techniques qui contribuent à éliminer l’anxiété.

Passer à un cheveu

Le cancer du sein a rendu mes cheveux plus épais. Et plus ondulés. Pas d’un seul coup bien sûr. Ce n’est pas comme si j’avais reçu un cadeau spécial pour compenser le choc et la peur associés au fait d’avoir un cancer du sein.

Le tamoxifène me sauve la vie, mais détruit mon estime personnelle

Je pourrais pleurer en écrivant ceci. Ou peut-être que hurler pendant cinq minutes la tête enfouie dans un oreiller pour ne pas me faire entendre des voisins serait mieux. L’insonorisation de mon condominium laisse à désirer. D’une façon ou d’une autre, ma réalité n’est pas près de changer. Et par réalité, je veux dire mon corps et le surplus de poids que je traîne depuis que j’ai commencé à prendre du tamoxifène il y a un an.

Série sur les essais cliniques. 2e partie : Déboulonner les mythes les plus répandus concernant les essais cliniques

Dans la première partie de notre série de blogues sur les essais cliniques, nous expliquions en quoi consistent les essais cliniques, les raisons pour lesquelles vous devriez y participer et la façon d’obtenir plus d’informations à leur sujet. Cependant, des inquiétudes vous poussent peut-être à demeurer réticentes à vous y inscrire malgré vos meilleures connaissances. Ces préoccupations sont légitimes et de nombreuses autres patientes atteintes d’un cancer du sein les partagent. Cependant, certaines de ces inquiétudes s’avèrent fondées sur des inexactitudes. Dans cette deuxième partie de notre série de blogues sur les essais cliniques, nous déboulonnerons certains des mythes les plus répandus concernant les essais cliniques. Nous espérons vous offrir ainsi des renseignements factuels qui vous permettront de déterminer de façon plus éclairée si les essais cliniques vous conviennent ou non.

Série sur les essais cliniques. 1re partie : Que sont les essais cliniques et me conviennent-ils ?

Selon une étude menée en 2014 par le Partenariat canadien contre le cancer, moins de 7 % des adultes atteints d’un cancer ont pris part à un essai clinique1. Cette situation s’explique peut-être par le fait que de nombreux patients atteints de cancer ne sont pas au courant des essais cliniques, qu’ils ne savent pas comment s’y inscrire ou qu’ils doutent de leur innocuité. Cette première partie de notre série de blogues sur les essais cliniques décrira en quoi ils consistent pour que vous puissiez décider d’y participer ou non en toute connaissance de cause.

Le dépistage a sauvé ma vie

J’avais cinq ans quand je tombai de la balançoire dans ma cour arrière. Mon côté droit encaissa le choc. Je ne sais pas comment je me retrouvai suspendue à la barre supérieure transversale, la tête en bas, sans supervision, mais je crois qu’on peut dire sans se tromper que j’imitais ma grande sœur et ses camarades de jeu. J’étais déjà très compétitive. Dès qu’une personne accomplissait quelque chose, je voulais prouver que moi aussi j’en étais capable. Mon entêtement se traduisit par un coude droit brisé, une écharpe et un plâtre. Tout l’été, je dus (sup)porter mon plâtre chaud et les démangeaisons qui l’accompagnaient, non sans me plaindre. Cet accident me laissa avec une double articulation au coude qui deviendra l’ennemie de mes entraîneurs de nage synchronisée. Du bord de la piscine, ils me criaient de garder mon bras droit bien droit, mais cette double articulation rendait la tâche ardue. Nous reviendrons plus tard à la nage synchronisée.

Recourir à l’acupuncture pour soulager les effets secondaires du traitement contre le cancer

À l’instar du tai-chi et du qi gong, l’acupuncture constitue une pratique de la médecine chinoise traditionnelle. Elle est devenue populaire auprès des personnes atteintes d’un cancer qui souhaitent en atténuer les effets secondaires.

Nos meilleurs billets de blogue de 2019 !

Nous sommes maintenant rendus en 2020 ! Comme cela paraît bizarre ! L’année 2019 fut occupée et marquante pour le RCCS. Nous avons donc pensé faire une rétrospective des billets de blogue qui selon vous, chers lecteurs, se sont révélés les plus utiles. Alors voici les 10 billets les plus lus de notre rubrique À nous la parole.

Ce que je pense honnêtement du livre The Complete Lymphedema Management and Nutrition Guide

Je me rappelle le choc ressenti lorsque j’ai appris l’existence du lymphœdème, un problème de santé chronique incurable qui m’accompagnera pour le reste de ma vie. Mes probabilités d’en être atteinte s’avéraient élevées puisque j’ai souffert d’un cancer inflammatoire du sein de stade III qui a nécessité l’ablation de tous mes ganglions lymphatiques axillaires du côté gauche.

Les biosimilaires contre le cancer : mises à jour récentes concernant les traitements

Au cours des dernières années, le RCCS s’est activé à informer les patients, les médecins et les groupes de défense des intérêts liés au cancer à propos des médicaments biosimilaires. Par l’entremise de son magazine numérique consacré aux biosimilaires et de son récent livre blanc Cancer du sein et biosimilaires : Recommandations sur leur utilisation, leur mise en œuvre et les communications avec le patient, il s’est en effet employé à faire de la sensibilisation au sujet du recours aux biosimilaires pour traiter le cancer du sein.