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La Voix Des Personnes Atteintes D'un Cancer Du Sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : support

Quand vous êtes-vous demandé comment vous alliez pour la dernière fois?

J’ai regardé le documentaire Harry & Meghan sur Netflix. Pourtant je ne suis pas une « afficionado » de la famille royale — sauf de la princesse Diana que j’ai toujours trouvé formidable. Je m’ennuyais et j’avais besoin d’une nouvelle émission à regarder, alors je me suis dit pourquoi pas? C’est un documentaire et puis je n’avais pas accès à l’émission que je voulais vraiment voir — la nouvelle télé-réalité des Kardashian, qui passe maintenant sur Disney+. Alors, j’ai cliqué sur lecture et au bout de cinq minutes, j’étais conquise.

C’est un fait, je me sens bien quand je parais bien!

Quand j’étais petite, je m’arrêtais chaque fois que je passais devant un miroir pour me regarder. Et je me faisais réprimander. Beaucoup. Ma mère et mes tantes me disaient soit que ce n’était pas bien de faire ça, que c’était vaniteux ou d’arrêter — parfois les trois en même temps! Oui, je le faisais pour m’admirer la plupart du temps, mais après l’âge de 12 ans, quand j’étais au secondaire, je le faisais plus par insécurité. Je voulais m’assurer que je n’avais pas l’air bizarre, que mes cheveux coupés au carré étaient bien ramassés derrière mon oreille gauche ou que mon visage saturé de produits Ten O Six ne brillait pas comme une orange. Si je me regardais dans le miroir, c’était pour me rassurer sur mon apparence. Je voulais être sûre que j’étais plus ou moins correcte.

Mardi, je donne : vos dons à l’œuvre

Le 29 novembre, c’est Mardi, je donne, le mouvement de générosité le plus important au monde. L’idée de ce mouvement créé en 2012 est simple : encourager les bonnes actions. Faites sourire quelqu’un, aidez un voisin ou une inconnue, mobilisez-vous pour une cause qui vous tient à cœur ou donnez un peu de ce que vous avez à quelqu’un qui en a besoin. Mardi, je donne est l’occasion de se rassembler pour célébrer le don altruiste et participer à des activités qui soutiennent des organismes caritatifs et sans but lucratif; d’aider, de donner, d’être gentils et de partager avec les autres. Les dons que vous faites au RCCS sont utilisés pour aider les personnes atteintes d’un cancer du sein, leurs proches et leurs soignants.

Le soutien, c’est important. Comment apporter du soutien et du réconfort aux autres personnes atteintes d’un cancer du sein et à soi-même?

Pendant les traitements, lorsque je m’allongeais dans mon canapé ou dans mon lit pour récupérer, je trouvais du réconfort en me faisant la promesse qu’une fois les durs moments passés, je trouverais de la joie et un sens à ma vie. Ce que j’ai fait en recommençant à entraîner une équipe de natation synchronisée après une pause de près de 20 ans. Ça m’a beaucoup apporté. En plus de la joie que j’en retire, ça me permet de focaliser mon énergie et mon attention sur d’autres personnes que moi-même, de redonner à ma communauté et d’aider de jeunes athlètes en qui je crois réellement.

Impacts du cancer du sein sur la santé mentale

Avoir un cancer du sein est accablant et, bien que l'on connaisse bien ses conséquences sur l’organisme, on parle beaucoup moins de ses impacts sur la santé mentale. En effet, le choc du diagnostic, la peur de la récidive et le stress lié à la maladie en elle-même, entre autres, ne sont généralement pas reconnus. On a souvent l’impression que le cancer du sein est une maladie physique qui ne dure que le temps des traitements. Or, nous savons tous que ce n’est absolument pas le cas. Pour mettre cette réalité en évidence, nous avons demandé à des patientes de nous parler de l’impact que le cancer du sein a eu et continue d’avoir sur leur santé mentale.

Le choix de notre système de soutien nous appartient

J’ai perdu ma chatte, Trixie-Belle. Elle est morte l’année dernière, une semaine avant les vacances d’hiver, d’un carcinome épidermoïde, un type très agressif du cancer de la bouche. Mon vétérinaire n’a rien pu faire pour la sauver. Un matin, elle s’est réveillée avec une tache sur le palais, puis après avoir réalisé toutes les analyses possibles et inimaginables et pris un traitement médicamenteux, elle s’en est allée.

Trousse numérique de défense des droits et de communication narrative du RCCS : la communication narrative comme outil de défense des droits et intérêts des patients

Même si diverses avancées ont été réalisées en matière de diagnostic, de traitement et de prise en charge du cancer du sein, les personnes qui se voient diagnostiquer un cancer du sein ou qui vivent avec la maladie se heurtent à des problèmes qui n’ont pas encore été pris en compte pas les organismes et les agences gouvernementales responsables. Par ailleurs, le grand public n’est, en général, pas conscient des conséquences quotidiennes du cancer du sein sur la vie des personnes qui en sont atteintes et leur famille.

Le RCCS souligne les collectes de fonds effectuées dans le cadre du mois de la sensibilisation au cancer du sein

Octobre est le mois de la sensibilisation au cancer du sein et chaque année, nous observons une augmentation marquée du nombre d’individus, d’entreprises et d’organisations qui se joignent à nous pour sensibiliser au cancer du sein. Dans le contexte de la pandémie de COVID-19 actuelle, des particuliers et des organismes ont participé à des activités virtuelles, utilisé leurs médias sociaux pour faire de la sensibilisation et versé des dons à divers organismes de lutte contre le cancer du sein.

Parlons soins palliatifs. 2e partie : choisir vos soins

Nous nous entendons tous pour dire que le confort s’avère l’un des facteurs les plus importants à considérer dans les décisions concernant la fin de vie. Or, la définition même du confort varie selon les personnes. Demeurer à la maison le plus longtemps possible ou jusqu’à la mort peut être mis de l’avant par certains alors que d’autres se sentent mieux dans un établissement de soins. Si vous n’êtes pas certaine de ce qui vous conviendrait le plus, nous énumérons ci-dessous quelques éléments à examiner.

Une application qui vous aide pendant et après votre traitement

Prendre soin de soi est primordial durant un traitement. Cela permet non seulement de conserver une bonne qualité de vie, mais aussi de préserver sa santé mentale. Entre les rendez-vous chez le médecin et la gestion de tous les aspects émotionnels d’un diagnostic de cancer du sein, il y a beaucoup à faire. C’est dans cette optique que le RCCS est ravi d’annoncer son nouveau partenariat avec Self Care Catalysts et son application mobile Health Storylines.

« Je suis et je vais » en cette Journée mondiale contre le cancer

La Journée mondiale contre le cancer du 4 février nous offre l’occasion de réfléchir à l’année 2018, au travail accompli et à ce qu’il reste à faire. Cette année, la Journée mondiale du cancer adopte un tout nouveau slogan : « Je suis et je vais ».

Faites la connaissance de Cathy Hemeon, nouvelle membre du conseil d’administration du RCCS

Le Réseau canadien du cancer du sein est ravi d’accueillir une nouvelle membre au sein de son conseil d’administration. Cathy Hemeon de Mount Pearl, Terre-Neuve, possède une vaste expérience dans le domaine de la santé qu’elle saura mettre à profit dans son nouveau rôle. À l’instar de toutes les autres membres du conseil d’administration du RCCS, elle est une survivante du cancer du sein. Son diagnostic de cancer du sein triple positif de stade I est tombé en février 2016 après un examen d’imagerie par résonance magnétique.

Regarder le bon côté des choses

En juin 2015, je déménageai à London en Ontario. Je me remettais d’une période personnelle plutôt émotive et difficile puisque j’avais divorcé en juin 2014. Je quittais Sault Ste. Marie pour me rapprocher de ma fille, de son mari et de leurs très jeunes enfants. Je savais que je verrais les autres membres de ma famille moins souvent. Je laissais derrière moi mes parents, mes deux sœurs, ma fille et son mari, une autre petite-fille et deux beaux-petits-enfants.

Voici comment, grâce à vos dons, nous aidons les patientes atteintes d’un cancer du sein

Mardi je donne aura lieu le 27 novembre et nous désirons profiter de cette occasion pour mettre en lumière le travail incroyable réalisé par des Canadiens pour appuyer le Réseau canadien du cancer du sein. Le gala annuel du Pink Ribbon Project (PRP) organisé par la Full Circle Foundation for Wellness constitue un parfait exemple d’engagement communautaire qui contribue à orienter et à développer les précieuses ressources du RCCS.

Survivre au cancer du sein et vivre avec un lymphœdème

Le 4 janvier 2010, je me métamorphosai en mouche posée sur le mur du bureau de mon chirurgien. Je le rencontrais pour recevoir les résultats de ma biopsie. Nous croyions qu’il s’agirait d’un rendez-vous rapide puisque le test préliminaire des fluides avant la biopsie n’avait révélé aucune trace de cancer. Je me rappelle entendre le médecin me dire : « Malheureusement c’était cancéreux… » J’eus l’impression de vivre une expérience extracorporelle. Je nous observais de haut, mon médecin et moi. Mon monde changea soudainement, physiquement et mentalement.

Courir sa chance

C’est bien de se fixer des objectifs ambitieux.

Je disputai mon premier marathon l’année où je fêtai mes 50 ans. J’en terminai un autre deux ans plus tard. J’adorais poursuivre des objectifs de mise en forme qui me forçaient à me dépasser physiquement. Courir régulièrement me faisait sentir forte et en bonne santé. En novembre 2015, je me donnai un nouveau but : courir un marathon à l’automne 2016 suffisamment rapidement pour me qualifier pour le marathon de Boston.

Comment je repris le contrôle de ma vie après avoir cru le perdre aux mains du cancer du sein

Cet épisode de ma vie commença en 2015, la veille du jour de l’An, quand j’aperçus une marque rouge sur mon sein droit. En moins de deux, je fus prise d’un vertige, mon visage s’empourpra et je tentai tant bien que mal d’avaler cette boule qui était maintenant coincée dans ma gorge.

Surmonter les effets secondaires permanents du cancer du sein

En 2011, Wendie Hayes de Stoney Creek Mountain en Ontario découvrit une bosse dans son sein droit. À 55 ans, elle reçut un diagnostic de cancer métaplasique du sein triple négatif à tumeur phyllode. Ce type de cancer étant rare (moins d’un pour cent des cas), en arriver au bon diagnostic prit un certain temps.

S’adapter à la vie après la fin du traitement

Vos traitements de chimiothérapie et de radiothérapie sont derrière vous, tout comme les interventions chirurgicales. Vous pensez que vous devriez célébrer votre retour à la normale. Mais vous avez l’impression que vous n’êtes plus la même personne qu’avant votre diagnostic. Le cancer du sein vous a changée à de nombreux égards : physiquement, émotivement et spirituellement.

Vous désirez savoir à quoi sert votre argent ?

En cette période des Fêtes, envisagez l’ajout du RCCS à votre liste de dons de bienfaisance. Voici ce que vous appuierez.