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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : cancer care

Questions & Experts : Une thérapeute spécialisée dans le traitement des lymphœdèmes répond à vos questions sur les lymphœdèmes associés au cancer du sein

Aujourd’hui, nous vous présentons les questions qui ont été abordées lors d’une session qui a eu lieu le 20 février 2023, au cours de laquelle la thérapeute certifiée en lymphœdèmes, Marize Ibrahim, a répondu à des questions sur les lymphœdèmes associés au cancer du sein. Vous trouverez entre parenthèses la référence temporelle de chaque question dans la vidéo.

Les risques de cancer du sein chez les femmes lesbiennes et bisexuelles

L’accès aux soins peut varier en fonction des gens et de l’endroit où l’on vit, mais également en fonction de l’orientation sexuelle. En effet, les membres des communautés LGBTQ+ se heurtent souvent à des réticences dans le monde médical, ce qui peut avoir un impact considérable sur leur état de santé. Compte tenu de cela, il est légitime de se demander si le fait d’être lesbienne ou bisexuelle influe sur le risque de développer un cancer du sein.

Cinquième anniversaire

Il y a cinq ans, je fus happée par une tempête lors d’un rendez-vous chez mon médecin : j’étais atteinte d’un cancer du sein.

Requérir un deuxième avis médical dans le système de santé canadien

En matière de diagnostic de cancer du sein, on s’entend souvent dire qu’il faut faire confiance à son intuition et chercher à obtenir un deuxième avis médical si l’on a des doutes quant aux informations que l’on a reçues. Ce conseil, qui part souvent d’une bonne intention, n’est pas toujours facile à appliquer. Dans d’autres pays, comme les États-Unis, l’obtention d’un deuxième avis est relativement simple, contrairement au Canada, où cela peut être particulièrement délicat.

À quoi servent toutes ces analyses que l’on vous prescrit?

Afin d’établir un diagnostic, votre équipe soignante vous demandera d’effectuer différentes analyses de sang. Le plus souvent, ces analyses devront être régulièrement effectuées : à l’étape du diagnostic, pendant le traitement, pendant la période de suivi et au-delà. Chaque diagnostic et chaque traitement ont des spécificités qui nécessitent d’être surveillées. S’agissant des résultats des analyses, la plage normale de valeurs reflète uniquement les valeurs moyennes pour ces analyses au sein de la population. Il est possible d’obtenir des résultats qui se situent légèrement en dehors d’une plage normale de valeurs sans que cela n’ait de conséquence; dans ce cas, votre équipe soignante saura vous renseigner sur la pertinence de vos résultats.

Est-il sécuritaire de recevoir des traitements contre le cancer durant la pandémie de COVID-19 ?

La pandémie de COVID-19 s’avère particulièrement inquiétante et difficile pour de nombreux patients atteints de cancer et leur famille. Comme vous l’avez sans doute déjà entendu, les patients atteints de cancer et les survivants pourraient présenter un risque plus élevé de souffrir de complications liées à la COVID-19. En effet, le cancer et ses traitements peuvent contribuer à affaiblir le système immunitaire. De nombreux patients se posent donc des questions sur la meilleure approche à préconiser pour leurs soins oncologiques. Ils se demandent entre autres s’il est sécuritaire de poursuivre leur traitement, s’ils seront dorénavant considérés comme non prioritaires par le système de santé et de quelle façon ils peuvent réduire leur risque de contracter le virus.

Méritons-nous ce mode de financement des médicaments ?

Quand je commençai à me sentir malade à l’été 2011, j’étais presque certaine de savoir ce qui n’allait pas. Je pensais que c’était mon endométriose qui faisait des siennes. Puis mes symptômes se transformèrent. Une recherche sur Google me convainquit qu’une ablation de ma vésicule biliaire devenait maintenant nécessaire. J’exagère, mais il demeure que malgré l’augmentation du nombre de signes avant-coureurs disparates, je restais persuadée qu’il y avait une explication toute simple. Je ne songeai jamais au cancer, même lorsque le gynécologue trouva dans mon sein une bosse dont j’ignorais l’existence.