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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Catégorie : Témoignages

La féminité divine en chacune de nous

Ma féminité irradie tout mon être. J’en suis arrivée à cette conclusion à la suite de la perte d’un attribut physique qui, depuis de nombreux siècles, représente un symbole puissant de la féminité et de la sexualité : mes seins. À l’âge de 18 ans, on m’a annoncé que j’étais porteuse de la mutation du gène BRCA1, à l’instar de ma mère, de ma tante et de ma sœur. Cela signifiait que mon risque d’être atteinte d’un cancer du sein était élevé.

Quand le pire des scénarios se concrétise

Les pires semaines de ma vie venaient finalement de s’achever. Six semaines s’étaient écoulées depuis ma tumorectomie. Six semaines terrifiantes durant lesquelles j’ai été confrontée à de nombreuses inconnues dans un état de désillusion total. L’attente se terminait enfin : je rencontrerais pour la première fois mon oncologue médical. Elle examinerait mon rapport de pathologie et m’expliquerait mon plan de traitement. En route vers mon rendez-vous, je me sentais prête à affronter tous les obstacles. Après avoir vécu les jours les plus sombres de ma vie, j’en étais ressortie forte et optimiste. J’avais effectué beaucoup de recherches et j’avais décidé que les chances étaient de mon côté, que je pouvais m’en tirer… à moins qu’il ne soit question d’un cancer du sein triple négatif (CSTN) parce que ce diagnostic changerait la donne. Cependant, cela ne m’inquiétait pas puisque je savais que le CSTN ne constituait que 10 % à 20 % des cancers du sein et que, outre mon âge, je ne présentais pas vraiment de facteurs de risque. Je suis donc arrivée pleine d’espoir à mon rendez-vous lorsque j’ai été frappée par ce que j’appelle le pire scénario. Dès que j’ai entendu « votre cancer est triple négatif », j’ai éclaté en sanglots. Je ne me souviens plus du reste de l’entretien.

Le cancer du sein triple négatif : des « si seulement » et un conseil

Si l’on vous annonce que vous avez un cancer du sein, vous voulez pouvoir dire : « il a été dépisté tôt ». La détection précoce s’avère particulièrement importante dans le cas du cancer du sein triple négatif (CSTN), un type agressif et difficile à traiter.

Huit articles qui ont facilité ma convalescence

Le jour où mon médecin m’a annoncé que j’avais un cancer du sein, j’ai rencontré mon chirurgien et mon rendez-vous pour ma mastectomie partielle (aussi appelée tumorectomie ou chirurgie mammaire conservatrice) a été fixé. Cela n’est pas surprenant. La Société du cancer du sein du Canada affirme que le cancer du sein représente le cancer le plus souvent diagnostiqué chez les Canadiennes et la deuxième cause de décès dus au cancer au Canada. Conséquemment, prendre un rendez-vous rapidement devient une priorité.

Être parent en plein traumatisme

Mon aîné a 17 ans et quatre frères de 14, 10 et 6 ans (des jumeaux). Je n’affirme pas être une experte en parentalité, mais je possède suffisamment d’expérience maintenant pour connaître une chose ou deux sur le sujet.

Le tamoxifène : histoire d’un siège et d’autres délits corporels

Il y a deux jours, j’ai senti une contraction dans le bas de mon dos, puis il m’a paru se coincer. Je n’avais jamais eu de problèmes de dos. Pourtant, je me suis retrouvée immobilisée par des spasmes musculaires qui me traversaient le corps. Je ne pouvais plus me retourner dans mon lit, me tenir droit debout ou même m’essuyer à la toilette sans hurler de douleur. Dieu merci (et je ne le dis pas à la légère), je suis parvenue à joindre une amie (qui souffre de douleur chronique au dos) qui a appelé son chiropraticien qui a accepté de me voir à la fin de sa journée de travail bien remplie.

Trois choses à savoir avant de subir une tumorectomie

J’ai de la jasette. J’aime communiquer et parfois (d’accord, souvent) je parle trop. J’ai besoin de savoir ce qui se passe et pourquoi il en est ainsi. Et dans ma vision très yin et yang des choses, je suppose que puisque je dis tout, toutes les autres personnes font de même. Mais, ce n’est pas le cas.

Faire le bon choix

Récemment, après avoir souffert pendant huit heures de douleurs abdominales tellement intenses que j’étais pliée en deux, j’ai cédé aux pressions de ma sœur Liz qui jugeait qu’une visite à l’hôpital s’avérait nécessaire. J’ai rampé jusqu’au rez-de-chaussée, fait appel aux services d’Uber, caché mon nez et ma bouche sous un couvre-visage à motifs et je suis partie. Douze heures, trois doses de morphine et un test d’imagerie par résonnance magnétique (IRM) du bas de l’abdomen plus tard, l’urgentologue m’a annoncé qu’une lésion sur le côté droit de mon foie était responsable de la douleur. En se basant sur les scintigraphies de mes organes principaux réalisées avant ma chirurgie mammaire, la lésion était nouvelle et potentiellement attribuable à la tumeur originale ou au traitement reçu après mon opération. Une échographie a ensuite révélé que la lésion mesure cinq centimètres de long par cinq centimètres de large et cinq centimètres de profond. Un deuxième test d’IRM a été fixé.

Trois sœurs combatives face au cancer

Je suis une Loirétaine de 51 ans et j’habite près d’Orléans, à 120 kilomètres au sud de Paris. J’ai grandi entourée de femmes. Je suis la plus jeune d’une famille comptant cinq filles. J’ai 20 ans de moins que ma sœur aînée et 10 ans me séparent de ma quatrième sœur. Notre mère a reçu son diagnostic de cancer du sein en 1985 et à cette époque, les soins étaient terribles. En juillet 1986, mon père est décédé d’un arrêt cardiaque sûrement attribuable à son chagrin. Ma mère a été très courageuse et elle s’est battue de toutes ses forces. Elle est décédée en mai 1989. J’avais alors 20 ans. En raison de son diagnostic de cancer du sein, mes sœurs et moi faisons l’objet d’un suivi étroit.

Conseils de santé sexuelle et d’intimité pour les patientes atteintes d’un cancer du sein

Les relations sexuelles ne constituent pas fréquemment un sujet de discussion auprès des médecins et des oncologues, ni même des amis. Néanmoins, les changements et les adaptations imposés par un cancer du sein peuvent s’avérer considérables pour vous et votre partenaire, selon l’importance que revêtait la sexualité dans votre vie avant votre diagnostic et vos traitements.