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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : breast cancer

L’innocence d’un tout-petit et la réalité du cancer

Il s’agissait d’un matin comme les autres. À la maison, j’essayais d’habiller mon garçon et de le faire déjeuner avant d’aller le porter à la garderie. Au moment où j’effectuais plusieurs choses en même temps, y compris me vêtir et veiller à ce que mon fils se brosse les dents, je remarquai qu’il me regardait. Il tentait toujours de comprendre les deux grandes cicatrices sur ma poitrine. Les incisions, encore récentes, guérissent tranquillement et deviennent peu à peu des cicatrices, des cicatrices qui indiquent où mes seins se trouvaient naguère. Maintenant, c’est juste vide. Il se décida finalement à parler. « Quand tes seins repousseront-ils, maman ? », demanda-t-il si innocemment.

Voici ce que vous devez savoir au sujet du cancer inflammatoire du sein

Rare et agressif, le cancer inflammatoire du sein (CIS) passe souvent sous le radar. Ses symptômes inhabituels le rendent difficile à diagnostiquer. De plus, il survient plus fréquemment chez les jeunes femmes chez qui les symptômes de CIS peuvent être confondus avec ceux d’une mastite, une infection mammaire courante dont souffrent parfois les nouvelles mères qui allaitent. Voici ce que vous devez savoir :

Histoire de la lutte contre le cancer du sein

Le cancer du sein est connu depuis l’Antiquité. Pendant la majeure partie de l’histoire de l’humanité, il n’existait aucun traitement efficace. Cependant, au cours des 120 dernières années, les progrès en matière de traitements médicaux et chirurgicaux font en sorte qu’aujourd’hui, 98 pour cent des patientes atteintes d’un cancer du sein localisé survivent au moins cinq ans après leur diagnostic. Le tableau ci-dessous présente de façon chronologique les principaux développements dans le traitement du cancer du sein.

Le cancer du sein triple négatif : contrôler la peur de la récidive

« Une terreur extrême me hantait. »  C’est ainsi que Shelley Moore de Saint Albert en Alberta décrit sa réaction à l’annonce de son diagnostic de cancer du sein triple négatif de stade II en 2014.

Les pouvoirs curatifs de la méditation

Des programmes de méditation surgissent partout au Canada, et pour cause. Cette pratique séculaire, aussi connue sous le nom de pleine conscience, est l’un de nos meilleurs atouts pour atteindre la santé, le bien-être et le bonheur. Les recherches démontrent que se livrer à la méditation sur une base quotidienne réduit le stress, la dépression et l’inflammation tout en améliorant le sommeil et en diminuant les symptômes de la fatigue et de la ménopause chez les femmes atteintes d’un cancer du sein. En outre, des études établissent un lien entre la méditation et une meilleure fonction immunitaire. Ce sont tous des points importants dont vous devez tenir compte après avoir reçu un diagnostic de cancer du sein.

À propos de « Be the Choice »

J’ai reçu un diagnostic de cancer du sein en février 2016. Ce n’est que longtemps après cette annonce que j’ai maîtrisé les termes liés au cancer du sein et que j’ai pu comprendre mon diagnostic et mes options de traitement. Longtemps après que le radiologiste m’a dit qu’il soupçonnait fortement un cancer à la lumière des résultats de ma mammographie. Longtemps après que le chirurgien qui a réalisé la biopsie de mon sein m’a clairement expliqué que j’avais une masse dans le sein gauche, au moins deux ganglions lymphatiques hypertrophiés tout en ajoutant que l’année à venir s’annonçait « très difficile » pour moi. Maintenant, je maîtrise ce langage : je souffrais d’un carcinome canalaire infiltrant (T2N1) de stade 2, localement avancé, hormonodépendant et HER2 négatif. Après cette période difficile (qui a en fait duré plus d’un an), mon cancer est en rémission.

Les biosimilaires contre le cancer : ce qui nous attend

Les médicaments biosimilaires sont utilisés depuis déjà quelques années au Canada, surtout dans le domaine des maladies chroniques et celui des soins de soutien. Mais dans un avenir rapproché, ils serviront également à traiter le cancer. Il n’existe pas beaucoup d’information au sujet de ces nouveaux biosimilaires anticancéreux et il importe que les patientes atteintes d’un cancer du sein sachent de quelle façon ces médicaments innovants pourraient affecter leur plan de traitement. Attardons-nous à quelques biosimilaires émergents qui seront bientôt employés en oncologie.

Les biosimilaires vus sous un angle clinique

Nous savons tous ce qu’est un médicament générique : une reproduction exacte de la formule chimique connue du médicament d’origine. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les médicaments génériques peuvent être fabriqués en grande quantité à un coût inférieur. Pour y parvenir, les fabricants de produits génériques doivent fournir la preuve que leur version constitue une copie conforme de la formule chimique du médicament initial et qu’elle est métabolisée de la même façon que le produit original chez les personnes en bonne santé. Ce processus abrégé d’approbation par Santé Canada ou par un autre organisme de réglementation représente un fardeau financier moindre pour les fabricants et procure un avantage considérable : un prix nettement plus bas qui se solde par une meilleure accessibilité pour les patients.

Ma participation au précieux travail effectué par l’Inuit Cancer Project

Les 1er et 2 mai, j’ai eu le plaisir de représenter le RCCS à une rencontre du comité consultatif de l’Inuit Cancer Project mené par Pauktuutit Inuit Women of Canada. Tenue à Iqaluit au Nunavut, cette réunion a permis à tous les participants de se rencontrer en personne pour discuter des grandes lignes du projet, de l’avancement des travaux et des activités récentes. Il y a aussi eu des tables rondes qui ont fourni l’occasion d’échanger sur les leçons retenues, les façons de renforcer l’engagement communautaire, les capacités communautaires et les étapes à venir.

Comprendre les biosimilaires : une patiente vous explique

En tant que survivante du cancer du sein et membre du conseil d’administration du RCCS, je m’intéresse grandement à la façon dont les biosimilaires seront employés pour traiter le cancer du sein au Canada. Même s’ils ne sont pas bien connus de tous aujourd’hui, ils feront bientôt l’objet de discussions dans les foyers des personnes atteintes de cette maladie. Comme patientes, il importe que nous comprenions leur utilisation, surtout s’ils servent de solutions de rechange efficaces aux traitements de marque déposée. Voici selon moi certains des éléments importants dont nous, les patientes, devrions tenir compte.

Faits saillants de la conférence annuelle de l’ASCO

Plus tôt ce mois-ci a eu lieu à Chicago la conférence annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO). Cette rencontre constitue une occasion pour des professionnels en oncologie venus de partout dans le monde d’en apprendre davantage sur les avancées principales de la recherche portant sur tous les aspects des soins oncologiques. Nous avons dressé la liste des faits saillants sur le cancer du sein dont il a été question lorsque de l’édition 2018 de cette conférence :

Ce que vous devez savoir : Participer à des essais cliniques dans une autre province ou hors du pays

Je vis avec un cancer du sein métastatique depuis plus de huit ans. Même si je suis généralement opposée à la comparaison de la vie avec un cancer et en mourir à un combat, je considère que j’ai dû lutter, persévérer et travailler fort pour obtenir les meilleurs soins. Heureusement pour moi, les tumeurs à récepteurs hormonaux positifs (ER+/PR+) de ma plèvre, de mon foie et de ma lymphe ont répondu à l’hormonothérapie, mais pas de façon spectaculaire. Je suis maintenant rendue à ma septième série de traitements.

J’aurais aimé savoir que j’avais les seins denses

Avoir un tissu mammaire dense rend le dépistage du cancer du sein par la mammographie plus difficile. Pourtant, cette situation est loin d’être inusitée.

Médicaments biosimilaires : qu’en disent les médecins ?

Maintenant que vous en savez davantage sur les biosimilaires, il pourrait s’avérer intéressant de connaître le point de vue d’un médecin sur ces médicaments. Nous avons joint le docteur Sandeep Sehdev, oncologue médical à l’Hôpital d’Ottawa, pour qu’il nous donne son avis sur les biosimilaires et qu’il nous fasse part de ce qu’il juge nécessaire pour les patientes de savoir à leur sujet.

Conseils pour gérer le cerveau embrumé lié au cancer

Les patientes qui subissent une chimiothérapie se plaignent souvent d’avoir le cerveau embrumé, d’où son nom courant de « chimiocerveau ». Mais en quoi consiste le cerveau embrumé et pourquoi se produit-il ? Et, surtout, comment peut-il être géré ?

Mieux connaître les médicaments biosimilaires

Les médicaments biosimilaires feront bientôt leur apparition dans le monde de la lutte au cancer du sein. Ils sont d’ailleurs déjà offerts comme médicaments de soutien. Face à toutes ces nouvelles options de traitement, il s’avère important d’en savoir davantage sur le sujet pour prendre des décisions éclairées.

Diarrhée — l’opposé de la constipation

À l’opposé de la constipation se trouve la diarrhée qui s’avère également un effet secondaire courant des traitements. Bien que de nombreuses chimiothérapies et thérapies ciblées causent de la constipation, d’autres déclenchent des diarrhées. Une perte de contrôle de la défécation peut non seulement être gênante, mais aussi provoquer des crampes douloureuses et mener à la déshydratation.

Les 10 principales priorités de la recherche sur le cancer du sein métastatique

C’est formidable de constater la synergie générée par la rencontre de patientes, de soignants et de cliniciens qui examinent des priorités de recherche. Il en ressort une longue liste de questions qui englobe une diversité de points de vue.

Constipation — la dure réalité

Les selles : il ne s’agit assurément pas d’un sujet duquel la plupart d’entre nous parlent franchement, surtout quand il est question de nos propres excréments. La constipation constitue cependant un des effets secondaires les plus courants de nombreux traitements contre le cancer et elle peut être vraiment… emmerdante !