By continuing to use our site, you consent to the processing of cookies, user data (location information, type and version of the OS, the type and version of the browser, the type of device and the resolution of its screen, the source of where the user came from, from which site or for what advertisement, language OS and Browser, which pages are opened and to which buttons the user presses, ip-address) for the purpose of site functioning, retargeting and statistical surveys and reviews. If you do not want your data to be processed, please leave the site.

La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Tag : high risk

Exploration des « panneaux Arrêt » : mon expérience avec le dépistage génétique

À l’âge de 30 ans, ma mère a eu un cancer du sein triple négatif, ce qui supposait la présence très probable d’une mutation génétique. Après avoir reçu son diagnostic, ma mère nous a très tôt parlé — à mes sœurs et à moi — du danger auquel nous serions peut-être confrontées au début de l’âge adulte. Elle nous a souvent répété que nous devions être vigilantes.

Mon parcours génomique en tant que personne atteinte d’un cancer du sein

Aujourd’hui, j’aimerais parler du rôle que la génomique a joué dans mon diagnostic. En tant que médecin spécialiste en la matière, cette expérience m’a ouvert les yeux sur l’utilisation clinique des techniques de génomique et sur l’accessibilité du profilage génomique en Colombie-Britannique et ailleurs. Il y a eu de bonnes surprises, mais il y a également eu des situations où je me suis directement heurtée à des barrières et aux limites entourant l’utilisation clinique et la mise en œuvre de la génomique.

Cancer du sein triple négatif : qui est à risque?

Le traitement du cancer du sein triple négatif peut s’avérer difficile. Selon les études, certaines personnes ont plus de risque de développer un cancer du sein triple négatif si elles présentent les facteurs de risque suivants.

Bref historique des gènes associés au cancer du sein

Dans les années 1970, avant de découvrir que certains gènes pouvaient être associés à des gènes, les chercheurs se concentraient principalement sur les virus et leur rôle dans le développement du cancer. Toutefois, sachant que les antécédents familiaux jouaient eux-mêmes un rôle dans le risque de contracter certains cancers, une généticienne américaine, Marie-Claire King, commença à s’intéresser aux autres causes possibles du cancer et entreprit d’étudier les causes du cancer du sein à l’intérieur de mêmes familles.

Des experts répondent à vos questions : une conseillère en génétique répond à vos questions sur le dépistage génétique

Aujourd’hui, nous vous présentons les questions qui ont été abordées lors d’une session qui a eu lieu en juin 2022, au cours de laquelle Rachel Mador-House, une conseillère en génétique agréée, a répondu à des questions portant sur la génétique et le dépistage génétique. Vous trouverez entre parenthèses la référence temporelle de chaque question dans la vidéo.

Les répercussions de la COVID-19 sur les patientes atteintes d’un cancer du sein. 2e partie : L’impact du traitement et de la prise en charge de votre cancer sur votre système immunitaire

Le risque que courent les patientes atteintes d’un cancer du sein et de la COVID-19 n’est pas entièrement connu. Des études démontrent que les patients atteints de cancer sont plus à risque de souffrir d’effets néfastes s’ils développent la COVID-19. Cependant, quelques recherches affirment que comparativement à d’autres patients cancéreux, les personnes atteintes d’un cancer du sein présentent moins de risque de souffrir d’une forme sévère de la maladie. Le stade de la maladie semble également jouer un rôle dans le niveau de risque couru.

Ce que votre oncologue veut que vous sachiez pendant la crise de la COVID-19

Faire face à un cancer du sein représente un défi en soi, mais en cette période incertaine durant laquelle notre système de santé doit rapidement s’adapter aux répercussions de la COVID-19, ce diagnostic s’accompagne d’un plus grand nombre d’obstacles, de modifications des schémas thérapeutiques et de reports de rendez-vous. Cette situation peut susciter des angoisses supplémentaires et des questions au sujet des répercussions de ces changements sur le résultat des traitements.

Le lavage des mains et l’éloignement sanitaire : comment ces pratiques vous protègent-elles ?

Nous avons maintenant tous entendu les conseils pour demeurer en santé pendant la pandémie de COVID-19  : il faut se laver les mains, rester à la maison et pratiquer l’éloignement sanitaire. Cependant, la raison d’être et le fonctionnement de ces recommandations s’avèrent moins bien connus et diffusés. Assurer votre sécurité, celle de votre famille et de votre entourage est important, tout comme comprendre la logique derrière toutes les mesures préconisées par les autorités. Nous avons donc décidé de nous pencher dans ce billet sur les deux préceptes les plus répétés et diffusés pendant la crise de la COVID-19 pour en expliquer les bienfaits et les principes qui les sous-tendent.

Réduire le risque de cancers héréditaires du sein et de l’ovaire : le témoignage d’une femme

En octobre 2013, Allegra Kawa, qui habite Edmonton, subit l’ablation chirurgicale de ses deux seins. Elle songe également à la possibilité d’opter pour une hystérectomie et une ovariectomie.