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La voix des personnes atteintes d'un cancer du sein

Éducation

blogue À nous la parole


Catégorie : Connaissances

Quelle est l’influence de la race et de l’ethnicité sur le cancer du sein?

Avec plus de 2,2 millions de cas en 2020, le cancer du sein est la forme la plus commune du cancer selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). On estime qu’une femme sur douze sera atteinte d’un cancer du sein et que celui-ci sera la cause principale de décès par cancer chez les femmes. Toutefois, grâce à l’augmentation du taux de détection précoce, aux programmes de dépistage et à l’amélioration des traitements, le taux de survie au cancer du sein n’a cessé de s’améliorer depuis les années 1980.

Vivre de manière positive avec un cancer du sein et bouger en toute sécurité

Le cancer du sein constitue une épreuve difficile. Vous cherchez des réponses et des informations sur cette maladie et ses traitements. Vous tentez de demeurer optimiste tout en acceptant ce que l’avenir peut vous réserver.

Traitement préventif du cancer du sein héréditaire

If you are at high risk for developing breast cancer because of family history or because you have the BRCA1 or BRCA2 gene mutation, you have several preventative treatments to consider. These options include close surveillance, chemoprevention, and prophylactic mastectomy, with or without breast reconstruction. 

Des oncologues vous informent au sujet des vaccins contre la COVID-19

Lorsque la pandémie de COVID-19 a été déclarée en mars 2019, il manquait d’informations sur le virus. Puis, au fil du temps, de plus en plus de recherches se sont penchées sur le virus et elles ont permis de mieux comprendre son fonctionnement, ses symptômes, qui il contamine et bien plus. Ces recherches ont également contribué à déterminer que les patients atteints de cancer étaient plus susceptibles de développer des symptômes graves s’ils attrapent la COVID-19. Même s’il manquait à la fois de preuves pour indiquer quels cancers précis étaient liés à une plus grande vulnérabilité et de recherches pour établir sans équivoque si les patients actuels et passés faisaient face aux mêmes risques, les quelques conclusions tirées à ce moment s’avéraient suffisantes pour classer les gens ayant reçu un diagnostic de cancer du sein comme étant à haut risque. Bien sûr, le risque de chacun dépend de nombreux facteurs et varie selon les individus.

Journée mondiale du lymphœdème 2021 : Faciliter l’accès au traitement

L’objectif de la Journée mondiale du lymphœdème consiste à faire des traitements du lymphœdème et des maladies lymphatiques une priorité mondiale. Les habitants de nombreux pays participent à cet événement de sensibilisation annuel. Depuis ses débuts en 1996, la Lymphedema Association of Ontario (LAO) s’est engagée à améliorer la vie des personnes aux prises avec un lymphœdème et elle a accru son dynamisme au cours de la dernière année. La Journée mondiale du lymphœdème représente pour nous une occasion de poursuivre notre travail de sensibilisation et de défense des droits. La LAO établit des partenariats avec les hôpitaux, nos membres professionnels et les patients pour attirer l’attention sur le lymphœdème en Ontario.

L’immunothérapie et le cancer du sein expliqués : réflexions d’une chercheuse qui a elle-même été atteinte d’un cancer du sein triple négatif

Les thérapies traditionnelles contre le cancer (comme la chimiothérapie et la radiothérapie) ont démontré une efficacité généralisée pour lutter contre divers types de cancer. Elles sont toutefois aussi connues en raison de leurs effets secondaires indésirables, voire toxiques. En effet, puisqu’elles ne tuent pas uniquement les cellules cancéreuses, elles endommagent les cellules saines du même coup. C’est ici que l’immunothérapie entre en jeu. Elle utilise le système immunitaire du corps pour combattre le cancer qui s’y développe. Imaginez que votre corps est un champ de bataille et que votre système immunitaire joue le rôle des soldats de première ligne, prêts à attaquer les envahisseurs étrangers. Les cellules cancéreuses posent toutefois une difficulté : elles ne sont pas aisément reconnues comme des agents pathogènes (tels les virus et les bactéries) puisqu’elles proviennent de l’organisme de l’hôte. Il s’agit en fait de cellules normales qui ont muté. L’hypothèse selon laquelle le système immunitaire pourrait être utilisé pour cibler et tuer les cellules cancéreuses a été formulée il y a longtemps, mais trouver la bonne façon d’exploiter cette habileté demeure une tâche ardue.

Les faits saillants du San Antonio Breast Cancer Symposium de 2020

Le San Antonio Breast Cancer Symposium est une conférence annuelle sur le cancer du sein qui réunit des chercheurs, des cliniciens, des patients et des fabricants de partout dans le monde pour discuter des plus récentes recherches sur le cancer du sein. Même si le symposium de 2020 s’est tenu en mode virtuel, il a permis le partage d’un nombre impressionnant de nouvelles recherches.

Le projet de régime d’assurance médicaments pancanadien verra-t-il finalement le jour ?

Bien que le Canada dispose d’un système universel de soins de santé, ce système ne rembourse pas les médicaments d’ordonnance ni les dépenses que doivent assumer de nombreux patients — y compris les patientes atteintes d’un cancer du sein — lorsqu’ils doivent faire appel au réseau de la santé. Tous les pays qui offrent un système universel de soins de santé disposent également d’un régime d’assurance universel pour les médicaments. Tous les pays, sauf le Canada. Cette situation se traduit par un accès inégal aux traitements en fonction d’une multitude de facteurs comme le lieu de résidence, le type d’assurance souscrit, l’âge, le revenu, etc. Pour régler ce problème, de nombreuses personnes ont suggéré de mettre en œuvre un programme national d’assurance médicaments financé par l’État. Nous avons déjà publié un billet intitulé Qu’est-ce que l’assurance médicaments et pourquoi les patientes atteintes d’un cancer du sein devraient-elles s’en soucier ? et un billet sur la position des partis fédéraux relativement à l’instauration d’un régime national d’assurance médicaments.  

Ressentez-vous de la douleur et des sensations là où se trouvait jadis votre sein ? Il pourrait s’agir du syndrome du sein fantôme

Certaines patientes atteintes d’un cancer du sein qui ont subi une mastectomie ont rapporté éprouver des sensations, douloureuses ou non, à l’endroit où se situait leur sein avant son ablation. Ce problème de santé, connu sous le nom de syndrome du sein fantôme, apparaît généralement durant l’année suivant la mastectomie. Les sensations qu’il provoque surviennent habituellement sur la poitrine, l’aisselle, la cicatrice de l’intervention chirurgicale et la partie intérieure du bras et elles se manifestent bien plus longtemps que la douleur post-opératoire. La prévalence du syndrome du sein fantôme demeure imprécise en raison d’un manque d’informations. En effet, les patientes ne le déclarent pas toujours parce qu’elles ont l’impression que ce n’est pas très important ou parce qu’elles ont du mal à le décrire. Le syndrome du sein fantôme toucherait entre 4 % et 56 % des patientes. D’autres études soutiennent que la fourchette se situe plutôt entre 10 % et 55 % des femmes.

Les caillots sanguins et le cancer : de quoi s’agit-il et êtes-vous à risque ?

Lorsque vous vous coupez ou blessez, les caillots sanguins servent à arrêter le saignement pour aider votre corps à guérir. Ils comportent cependant un aspect négatif. La formation d’un caillot sanguin dans une veine (thrombo-embolie veineuse) ou dans une veine profonde (thrombose veineuse profonde [TVP]), peut susciter de l’inquiétude.